Impossible de dormir... rentrée trop tard... trop énervée .... trop sur un nuage....
Arrivée à 15 h, personne devant la salle, les portes sont mêmes ouvertes. On entend de la musique, ce sont les balances. Ni une ni deux, je rentre "incognito" dans la salle mais je suis vite repérée... J'en profite pour demander à quelle heure ouvrent les portes : 20 h 30
Merde, 20 h 30, c'est tard depuis 15 h !Du coup, je fais un tour dans le festival et je vais voir le stand du festival pour récupérer une affiche
. Il n'y en a pas car le producteur les fait payer et il n'en a pas distribuées re-merde 
. Heureusement, il y a plus d'un 1 mois, j'en avais repéré une dans 1 supermarché perdu dans la "campagne" (si, si, c'est vrai, Il est partout
), j'avais alors laissé mon numéro de téléphone pour pouvoir la récupérer mais sans grande conviction. Coup de téléphone du magasin vers 16 h : "Est-ce que vous voulez toujours l'affiche car je vous la garde " 
. Tu parles, à mon avis, c'est pas tous les jours qu'on leur demande des trucs de bénabarges vu la moyenne d'âge du village ! Et re-re-merde 
je suis bloquée devant la salle au cas où il y aurait un arrivage d'un bus de 50 touristes japonais venus voir notre B. préféré. J'appelle mon mari : "Allez, s'teu plaît, apporte-moi l'affiche, promis je te parle plus de lui 
pendant 3 jours !". Ok.Je continue mon petit tour et là, je rencontre un copain qui fait de la radio sur CFM. Info ou intox : Bénabar serait en direct sur la radio entre 17 h et 19 h, le stand qui est rendu public est à quelques pas de la salle. Re-re-re merde
quel dilemne : la radio ou la file d'attente ? Je me dis que j'ai plus de chance d'avoir un autographe maintenant qu'après le concert. 
. Il faut que je trouve quelqu'un qui me garde ma place devant la salle. Retour à la salle : 2 filles assises par terre, portes re-ouvertes, ouf ! elles sont pas japonaises. Tant pis, je tente : "salut, vous venez pour Bénabar ? (question débile mais bon)" - "Oui" - "Vous êtes du forum ? (question re-débile)" "Oui"
et c'est comme ça que j'ai fait connaissance de Laurene ! Elle est venue avec une copine qui ne connaît pas trop Bénabar ( 
ça existe encore ça ?) qui est ok pour nous garder les places.Nous voilà au stand de la radio entre Bénabarges : Mon copain journaliste fait passer du beau monde derrière son micro : Emilie Loizeau, Manu Galure, André Borbé (un p'tit nouveau à surveiller) et Bénabar annoncé... 18 h 30... la nouvelle tombe, Bénabar ne vient plus à l'émission car - aux dires de la radio - son staff ne veut pas : peur des débordements car le lieu n'est pas sécurisé, trop de fans - tu parles, à part nous, que des mamies qui pensaient que c'était Julien Clerc qui allait arriver -. Et que lui il voudrait mais que les autres ben, ils veulent pas....
re-re-re-re merde. Grosse déception à gérer 
Heureusement, entre-temps, j'ai récupéré mon affiche, aaaahhhhh, il est trop bo
". Nous voilà dans la file d'attente. Connaissant bien les lieux, je sais qu'ils ouvrent 2 portes et la file d'attente commence que sur un côté, Laurene en tête. Je tente la 2e porte, toujours pas de file d'attente derrière moi. Et moi, tranquille devant la barrière, petits regards amusés des gens qui attendent à côté "celle-là, elle a rien compris, elle peut toujours attendre !"
. 20 h, à une demi-heure de l'ouverture de la porte, les vigiles installent les barrières devant moi 
21 h 30 1er partie : Loanne. Euh....
22 h 30 musique classique, lumières à tout va, musiciens qui s'installent et un "Bonsoir M'ssieurs Dames" qui déboulent sur scène
C'est partie pour 2 h de show, il est super en forme notre B. Mêmes chansons qu'à Toulouse, avec "les numéros" en plus. Mêmes blagues : "mon fils s'appelle Montauban", "les gens de province et nia, nia, nia "", roman photo sur les répets, les jumelles (j'ai bien pensé à l'interview du forum, encore bravo !), piano qui avance, délation entre musiciens, hypnose de Bénabar pour nous parler de sa taille.... On est au premier rang, paraît qu'il y avait Marek mais comme moi je la connais pas, ben je l'ai pas vue....
. A la fin de la Berceuse, il nous demande comment on trouve ses musiciens. Moi : ""ils sont beaux !". Lui : "Ah bon, tu trouves ? Mais moi alors ?" - Moi : "Toi, t'es le plus beau bien sûr !"
. Ouf, le voilà rassuré ! Pendant le concert, œillade discrète sur le public de devant, le prompteur lui prenant toute son attention
. 1 fois ou 2, il nous a regardé mais du coup, on le sent hésiter dans les paroles. Mais comme on les connaît, on les lui souffle et il est MDR.Pas d'embrassade olé olé comme à Toulouse, juste quelques poignées de main mais tant pis, il est trop bô
.Au moment des bis, JAMAIT arrive sur scène pour un duo (du coup, on n'a pas eu la chanson inédite au piano
). Je connais pas la chanson mais c'est très sympa. A la fin du concert, j'arrive à avoir une info : signature de autographes derrière la salle, devant les bus de la tournée (au fait, ils sont immenses ses bus !). Du coup, on tente, après tout, il est pas venu à la radio, il pourrait venir maintenant et au pire, on lui fera coucou quand il passera en bus.
1 h 20. Tous les VIP passent devant nous....
ils sont mêmes pas fans d'abord.... JAMAIT, le parrain du festival passe tranquille l'air de rien. Super sympa, il s'arrête pour nous parler et nous signer des autographes. Ah, les musiciens de B. 
: "super le concert, bravo...." - "Merci". On en saura pas plus. Et puis, le voilà, douché et habillé qui passe au loin rejoindre le resto des VIP. On se dit "là, tant pis, il viendra pas malgré nos cris". IL NE FAUT JAMAIS PERDRE LA CONFIANCE QUE BENABAR IL A MIS DEDANS TOI 
car Il arrive, tout souriant avec des "bonsoir, bonsoir, merci d'être venus". Et là, que dire : le bonheur, l'extase, le p'tit nuage. Il a pris le temps de parler avec chacun, le sourire aux lèvres, la bise à tout le monde, et des autographes à gogo. Une fille a appuyé son affiche sur sa poitrine pour qu'il la signe et réalisant la scène quelque peu incongrue (c'était pas prévue évidemment) lui dit : "heu, je te la fais signer sur mes seins alors ?!". Et lui de réaliser le truc : "Ben... (hésitation quand même, je précise pour sa femme) OK mais juste un peu alors !" Et il signe l'affiche avec un sourire de coquin 
. Pour moi, mon affiche signée (merci le supermarché du coin !!!) et le livre pour enfants du Vélo (ça l'a fait marrer). Une photo, le bisou et voilà 
On a fait quelques pas avec lui qui du coup rejoignait le resto par une autre route. Les vigiles nous ont sauté dessus pour le protéger comme ci on voulait l'abîmer notre Bénabar. Et lui, très respectueux et très classe se retourne vers eux et leur dit : "Merci les gars, ça va aller (tiens, ça me rappelles une chanson ça !)" et avec un beau sourire, il leur dit merci, bonne soirée et leur serre la main. La tête des vigiles qui du coup, tombant eux aussi sous son charme, le laisse se barrer seul avec quelqu'un de son staff, et nous.... à lui parler ! Dingue ! Pour une journée avec trois re-merde, elle se finissait bien, non !
On lui a souhaité un bon anniversaire à l'avance (il déprime grave, il aime pas trop en parler, il souffre ça se voit, le pov'
). Le temps de lui demander comment s'appelle le mari de Muriel, "Ben, j'y réfléchie et je sais pas encore" et le voilà parti pour de nouvelles aventures et rencontres de Bénabarges. Du grand Bénarbar à Montauban,
merci Monsieur Bruno et re-re .
) ; je pense qu'aprés une dizaine de kawas, cela devrait aller mieux : dormi 4 heures la veille du concert à cause de l'Aldebert ( 
. Il y a eu un trés beau duo avec Jamait ( 
. Et bien sûr, c'est un peu le bordel ce qui est normal et légitime, les premiers arrivés ne veulent pas perdre leur place .
