Si tu demandes, j'envoie le bus à la révision de suiteln.miaoum a écrit :Genre sortir le bus rose pour aller camper à côté du lieu de tournage??


Et sinon, ben même encore ce matin, je suis sur le


Modérateur : Modérateurs
Si tu demandes, j'envoie le bus à la révision de suiteln.miaoum a écrit :Genre sortir le bus rose pour aller camper à côté du lieu de tournage??
Ca fait bizarre de voir sur la fiche de Bénabar "Acteur, Scénariste, Compositeur"...
Je n'ai pas de scan mais j'ai le studio donc voici l'article:Mareck a écrit :bon alors incognito 8) , je remonte le fil
Petit article (mais vraiment tout petit) dans le magasine STUDIO de février sur la prochaine participation de Bénabar au cinéma.
Démarrage du tournage (si j'ai bien lu car il a fallu que je me sauve rapidement du magasin de presse pour me jeter dans le tram) : début mai
voili, voilo
intéressant non![]()
Le petit articleStudio a écrit :Bénabar débarque au cinéma
Après avoir signé la b.o. de Madame Edouard en 2004, Bénabar va faire ses débuts d'acteur en mai dans d'Incognito, la nouvelle comédie d'Eric Lavaine, le réalisateur de Poltergay. Ils se connaissent pour avoir écrit ensemble plusieurs épisodes de la série H, pour Canal +. Lavaine lui a offert le rôle d'un chanteur qui devient star grâce aux textes d'un ami qu'il croit mort. Jocelyn Quivrin, Franck Dubosc, Isabelle Nanty et Anne Marivin seront aussi de la partie.
Et mince, moi, j'avais acheté celui de janvier ! c'est ça les "lectures de vacances" pour prendre l'avionMareck a écrit :bon alors incognito 8) , je remonte le fil
Petit article (mais vraiment tout petit) dans le magasine STUDIO de février sur la prochaine participation de Bénabar au cinéma.
...non, je peux pas dire que le fait d'en savoir un peu plus me rassure vraiment...aujourd'hui, [url=http://www.leparisien.fr/home/loisirs/articles/UN-ACTEUR-NOMME-BENABAR_298626918]leparisien.fr[/url] a écrit :
Il en rêvait. Le chanteur, dont le prochain disque sortira à l'automne, tourne son premier film. Aux côtés de Franck Dubosc, Anne Marivin et Jocelyn Quivrin, il tient la vedette d'« Incognito », une comédie attendue en mai 2009.
DANS LA VITRINE d'un café bruxellois, en début de semaine, on reconnaissait des visages familiers - Bénabar, tout mince, et Jocelyn Quivrin - sur l'affiche de concert d'un groupe nommé Orly Sud. A l'intérieur du même café, des caméras, des projecteurs, des figurants, des mètres de câbles, des maquilleurs, des écrans de contrôle... Sur le mur, un tableau indiquait - en francs - le prix des consommations.
Précision : lors de ce flash-back du film « Incognito », l'action se déroule en 1997, rue Oberkampf à Paris. Quant au premier rôle, celui d'une vedette de la chanson prénommée Lucas, il est tenu par Bruno Nicolini, alias Bénabar, qui fait ainsi ses débuts au cinéma.
« Il est bien meilleur que d'autres acteurs soi-disant professionnels »
« Ce n'est pas un film musical », annonce en préambule le réalisateur Eric Lavaine. Le chanteur et lui se sont d'ailleurs rencontrés il y a quelques années, alors qu'ils travaillaient ensemble sur les scénarios de la série « H » pour Canal +. Au départ, Lavaine lui avait seulement proposé d'écrire un morceau pour ce long-métrage. Puis, de fil en aiguille, Bénabar - qui signe la BO - a fait part de sa volonté de participer à l'écriture et de tenir le rôle principal. Banco. « Personne ne va le voir venir, s'amuse le metteur en scène. Il a la gravité et la profondeur nécessaires pour aller loin dans la comédie. » Installé dans sa loge avec sa compagne Alice Taglioni et leur chien, son partenaire Jocelyn Quivrin (« 99 francs ») partage cet avis : « Il a bossé, il a le truc, c'est un mec fin. Franchement, il est bien meilleur que d'autres acteurs soi-disant professionnels. »
Dans ce film, Quivrin joue Thomas, le copain à qui Lucas/Bénabar, incapable de briller autrement qu'à travers le travail des autres, a piqué des chansons. « Mon personnage - un toxico - disparaît pendant dix ans en Inde puis réapparaît. Entre-temps, Lucas est devenu une star. En me revoyant, il va donc s'employer à passer incognito pour lui cacher la situation. » Voilà pour le ressort comique de cette production à 9 millions d'euros où figurent également Isabelle Nanty, Anne Marivin et Franck Dubosc. Ce dernier joue Francis, un acteur raté, une sorte de parasite persuadé de son talent mais tout juste bon à squatter chez un ami qui, lui, a réussi. « Ce n'est qu'un second rôle, précise la star de Camping et Disco. Je suis sans pression, j'ai l'impression de courir sans sac à dos. »
Ce jour-là à Bruxelles, Dubosc fait un numéro de comique pathétique au maquillage ridicule se prenant un bide devant un public impassible. Une scène à l'issue de laquelle il est censé rencontrer Thomas pour la première fois. « Bénabar joue comme il chante, assure-t-il après la prise. C'est un homme de scène, un auteur, un interprète. Il joue d'ailleurs bien mieux la comédie que je ne saurais chanter. » Que d'éloges pour un débutant... Verdict dans les salles en mai 2009.
si c'est la seule horreur (de tout genre) qui nous attend au cours de ce film, on s'en sort plutôt bien, je trouveEphéméride a écrit :c'est quoi encore ce jogging jaune et noir?
Et, le jaune c'est la couleur de l'été... Alors il est dans les tons.Ephéméride a écrit :c'est quoi encore ce jogging jaune et noir?
Tu es trop rapide !klem ogre de benabarback a écrit :Reportage sur le film, tourné autour de B dans le JT de TF1 en ce moment
ce sera visible sur TF1.fr evidemment
ln.miaoum a écrit :
Pour les cheveux teints et la maigreur, on dirait un cadavre...
a+Bénabar en a marre de passer pour «un connard»
Musique. Le chanteur est devenu la tête de Turc préférée des médias et de ses confrères. Sa réponse est cinglante.
Match Musique
Bénabar sort le 20 octobre un nouvel album très réussi et surprenant. Il sera en concert à partir de février 2009.
interview Benjamin Locoge
Paris Match. Depuis un an, dès que l’on veut ridiculiser la nouvelle chanson française, on vous cite en exemple. Michel Fugain vient de déclarer à votre propos : “Est-ce qu’il va faire autre chose que de nous raconter le quotidien?”
Bénabar. J’ai beau dire que je suis au-dessus de tout ça, c’est totalement faux. Les attaques me blessent, me foutent littéralement par terre. Je suis conscient qu’il y a des choses bien plus graves, bien plus importantes. Mais j’encaisse difficilement.
Qu’est-ce qui vous a le plus atteint?
Franchement, de passer pour un énorme connard ! Il y a des types qui expliquent volontiers sur Internet que “Le dîner” est un hymne à la Chine, au fait qu’il faut rester chez soi et laisser les autres crever de faim. A la base, c’est une chanson sur un type qui n’a pas envie de sortir...
Même vos confrères vous assassinent. A commencer par Benjamin Biolay, qui dit : “Bénabar me débecte”.
Et alors ? J’ai vendu plus de 1 million de disques en deux ans, son excellent dernier album n’a pas dépassé les 100 000. Je comprends qu’il soit jaloux. Cela dit, j’essaie de le joindre depuis plusieurs mois pour discuter, tous mes messages sont restés sans réponse.
La nouvelle chanson française serait trop arrogante, trop mollassonne...
Je ne cracherai jamais dans la soupe. Pour moi, ça va plutôt bien... De toute façon, je l’ai sans cesse répété, mon rêve a toujours été de devenir un artiste populaire de variété. J’assume complètement ce choix, mais cela ne veut pas forcément dire que je suis consensuel.
Aimez-vous être comparé à Michel Sardou, à Gilbert Bécaud?
Une partie des critiques qui me comparent à eux cherche à me dévaloriser en insinuant l’idée que Bécaud ou Sardou n’ont fait que de la merde. Figurez-vous qu’il y a pas mal de chansons de Sardou pour lesquelles j’ai une faiblesse. Après, c’est un chanteur de droite, je suis un chanteur de gauche...
Justement, que vous inspire la France de Nicolas Sarkozy?
Il y a un truc qui m’inquiète, malgré mon anti-sarkozysme de base. Un mec qui était aussi haut dans les sondages et qui tombe aussi bas, je ne trouve pas que c’est sain. Cela dit, beaucoup se sont sentis trahis.
Vous participez également aux Restos du cœur. C’est bizarre de vous voir là...
Ah, un autre problème ! J’assume complètement ma présence là-bas. Je sais que certains critiquent le fait que je partage la même scène qu’Hélène Segara, Jenifer ou Christophe Maé. Mais je revendique ma participation, car la cause vaut bien que je passe outre mes petits préjugés. Si on m’y invite de nouveau, j’y retournerai avec plaisir. Peu importe ce qu’en pense Benjamin Biolay...
“Infréquentable”, votre prochain disque, est un tournant vers la grande variété.
Je ne pouvais pas éternellement continuer à faire la même chanson. C’est le problème de beaucoup d’entre nous. Lorsque l’un de nos titres connaît un grand succès, nous sommes tentés par l’envie de le refaire. C’est pourtant ce qui lasse le public. Des gens seront peut-être surpris, mais je continue à raconter des histoires. C’est le principal...
Si le disque ne marche pas, que ferez-vous?
Je pense souvent à ça. Quel artiste n’a pas connu de traversée du désert dans sa carrière ? Mon état d’esprit en ce moment, c’est quand même profil bas. Il y a pas mal d’exemples de chanteurs de ma génération qui étaient au pinacle il y a deux, trois ans et qui rament aujourd’hui. Rien n’est solide.
D’ici à sa sortie, vous aurez terminé le tournage de votre premier film.
Je tourne dans une comédie avec Franck Dubosc, un type supermarrant, supersympa, avec qui je m’entends très bien ! Il y a peut-être une part de plaisir malsain à avoir accepté, mais ça va bien les faire chier.
Vous tendez le bâton à vos détracteurs.
Certains rêvent d’avoir la couverture de “Télérama”, moi j’ai eu ma spéciale chez Michel Drucker... Cela résume pas mal de choses. A mes débuts, j’aurais adoré avoir une bonne critique de mon disque dans “Les Inrockuptibles”, maintenant, je m’en fous sincèrement.
« L’effet papillon », le premier extrait d’« Infréquentable » (Jivepic/SonyBmg), sera disponible dès le 2 septembre.