

Donc voilà , Lena, mange plein de glaces (même s'il fait froid) et pense à nous !
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:loveArya a écrit :J'ai le souvenir d'une merveilleuse glace à la noisette mangée en plein milieu de l'amphithéâtre de Taormina, face à la mer...![]()
C'est vrai, vous ne me proposez que des glaces. On est en hiver les amis et les glaces c'est pas trop un repas d'hiver !! et même si c'est dans le Sud, j'ai prévu plutôt dans pulls que des débardeurs ...Arya a écrit : Donc voilà , Lena, mange plein de glaces (même s'il fait froid)
La sicile !!! Je rêve d'y aller depuis que j'ai vu le parrain (y a donc environ 10 ans) !!! Par contre c'est clair qu'il doit faire supra chaud l'été !!! Genre tu passe ta journée devant le mini frigo de ta piole d'hotel ouvert !!!!Num a écrit :ah oui carrément (mais c'est en Sicile, faut le dire^^)
en plein été à l'heure de la sieste y avait personne
Bonjour les kilos !!!!Lena a écrit :C'est vrai, vous ne me proposez que des glaces. On est en hiver les amis et les glaces c'est pas trop un repas d'hiver !! et même si c'est dans le Sud, j'ai prévu plutôt dans pulls que des débardeurs ...
Je pense que je vais me jeter surtout sur pizza-pasta.
Et puis t'as raison faut se faire plaisir dans la vie... Et puis les glaces c'est pas top non plus pour la balance !!!Lena a écrit :Lyla a écrit : Bonjour les kilos !!!!![]()
Pas grave !! c'est trop bon ...
"A Rome fais comme les Romains"Lyla a écrit :La sicile !!! Je rêve d'y aller depuis que j'ai vu le parrain (y a donc environ 10 ans) !!! Par contre c'est clair qu'il doit faire supra chaud l'été !!! Genre tu passe ta journée devant le mini frigo de ta piole d'hotel ouvert !!!!Num a écrit :ah oui carrément (mais c'est en Sicile, faut le dire^^)
en plein été à l'heure de la sieste y avait personne
J'habite quand même pas au sommet du mont blanc hein !!!Num a écrit :"A Rome fais comme les Romains"Lyla a écrit :La sicile !!! Je rêve d'y aller depuis que j'ai vu le parrain (y a donc environ 10 ans) !!! Par contre c'est clair qu'il doit faire supra chaud l'été !!! Genre tu passe ta journée devant le mini frigo de ta piole d'hotel ouvert !!!!Num a écrit :ah oui carrément (mais c'est en Sicile, faut le dire^^)
en plein été à l'heure de la sieste y avait personne![]()
Sérieux en bord de mer, c'est pas si chaud que ça enfin disons que y a du vent (mais bon pour une montagnarde si ça se trouve 18°C c'est chaud alors^^).
Parce que passer sa journée dans sa piaule, bof quoi
En plus j'ai vu Corleone !! A l'époque j'avais pas vu Le parrain, mais quand je l'ai vu par la suite, j'étais bien contente d'avoir vu voir ce villageLyla a écrit :La sicile !!! Je rêve d'y aller depuis que j'ai vu le parrain (y a donc environ 10 ans) !!!Num a écrit :ah oui carrément (mais c'est en Sicile, faut le dire^^)
en plein été à l'heure de la sieste y avait personne
Espagnole des deux côtés mais pas au même degrès !!! enfin plus par mon père parce que ma mère elle c'est plutôt ItalieArya a écrit : Sinon Lyla tu viens de quel coin d'Espagne ? Et par qui t'es espagnole dans ta famille ?
c'est noté aussiLyla a écrit :
La sicile !!! Je rêve d'y aller depuis que j'ai vu le parrain (y a donc environ 10 ans) !!! Par contre c'est clair qu'il doit faire supra chaud l'été !!! Genre tu passe ta journée devant le mini frigo de ta piole d'hotel ouvert !!!!
Arnaud Robert, dans "Le Temps", a écrit : Jackson, l'ange déchu
En 1982, Bambi sortait «Thriller», l'album le plus vendu de l'histoire de la musique pop. Un coffret lui rend hommage. Et la mort artistique du «chanteur blanc» signe aussi la fin d'une certaine industrie musicale.
C'était il y a vingt-cinq ans. Et cela n'arrivera plus jamais. On estime le total des ventes de l'album Thriller, sorti en 1982, à plus de 100 millions d'exemplaires. Sommet que plus personne ne songe à conquérir désormais, avec l'irruption d'Internet, la débâcle de l'industrie et - il faut bien le dire - la téléréalité dont les stars minutes éclatent encore davantage un marché asphyxié. Michael Jackson porte cela, cette époque. L'avènement d'hymnes globalisés. Son blouson de cuir rouge dans le clip de «Beat It» que les adolescents s'arrachaient pour lui ressembler. Le pas lunaire, né un soir d'hommage au label Motown en 1983, dont les cours de récréation ont subi longtemps la réplique approximative. Que reste-t-il de cette fascination?
Michael Jackson aura bientôt 50 ans. Les procès successifs en pédophilie malgré l'acquittement, la faillite personnelle, les métamorphoses de son visage, ont fait de lui une étrangeté que seule une curiosité morbide pousse encore à scruter. Il y a quelques semaines, en marge des NRJ Music Awards, il apparaissait dans un message préenregistré. Lunettes opaques d'aviateur, lèvres inexistantes et dessinées au pinceau, nez en papier de verre, il semblait comme absenté de lui-même. Honoré impavide, loué par une génération qui n'était pas née quand il se grimait en loup-garou, Michael Jackson jouait au revenant. Annoncé depuis trois ans, son prochain album (le premier après le décevant Invincible en 2001) a déjà été anticipé, commenté, enterré même par une presse spécialisée qui n'y croit plus. Une équipe de télévision américaine s'était même rendue dans son manoir d'exil irlandais pour assister aux premières rencontres muettes avec le producteur Will.i.am. Gêne réciproque du filmé et du filmeur qui avaient chacun le sentiment d'avoir construit un événement autour de rien.
C'est la mémoire qui parle, donc. Avec la commémoration de Thriller, ponctuée d'un petit coffret et de quelques refrains revisités, Michael Jackson tente de se rappeler au bon souvenir des amnésiques. Justin Timberlake l'a depuis longtemps supplanté dans le rôle du parfait danseur, au R & B gracile et à l'audace calculée. Ce n'est pas le même modèle. Ce que Justin raconte de notre époque, c'est l'obsession de satisfaire au mouvement présent, de suivre trait pour trait la mode en se donnant l'air de la fonder.
Il faut revenir à 1982 pour saisir en quoi Michael Jackson n'a pas connu de précédent ni peut s'envisager de successeur; et pourquoi sa mort artistique, même si elle sera probablement relativisée par de futures sorties, signe la fin de l'industrie musicale telle que les années 1950 l'ont fomentée.
Les deux rivaux de Bambi, dans ces années-là , sont Prince et Madonna. Le premier, aujourd'hui, a créé son petit club à Las Vegas, distribue gratuitement ses disques dans les journaux et gagne sa vie en tournée. Il a renoncé depuis ses déboires avec la compagnie Warner à lier son destin à celui des majors du disque. La seconde s'est associée à un producteur de spectacles pour gérer sa carrière. Elle sait qu'il ne faudra plus compter sur ses albums pour assurer son train de vie.
Michael Jackson, lui, n'a pas compris. Jamais personne n'a songé à lui retirer sa couronne de King of Pop. Né à Gary dans l'Indiana, d'une famille pauvre, il a vu en quelques décennies sa fortune enfler jusqu'à être estimée - grâce à l'acquisition des droits sur plus de deux cents chansons des Beatles - à un milliard de dollars. Il vient d'un temps qu'il a inventé. Celui des pop stars pour lesquelles les labels (Sony, dans son cas) étaient prêts à investir à perte pour ne pas les voir chanter ailleurs.
Michael Jackson a grandi dans cette logique, celle de l'omnipotence. Avec ses frères, les Jackson Five, il a hanté les nuits télévisées de l'Amérique. C'est un pouvoir, à 11 ans, de voir débarquer Elvis Presley à son concert, de se faire caresser la coupe afro, et d'oublier trois minutes que votre père vous fera répéter au ceinturon des pas de danse qui n'entrent pas.
Jackson a passé sa vie à se venger. De cette enfance où le paternel, Joe Jackson aux yeux bleus, l'appelait «Gros Nez» et l'injuriait. Vengeance par les salles d'opération, par cet amour hystérique pour les monstres (il aurait proposé jusqu'à un million de dollars afin d'acquérir le squelette de Joseph Merrick, l'Elephant Man), mais aussi par ce syndrome de Peter Pan qu'il revendique sur tous les tons et qui génère le soupçon. Après Thriller, il achète pour 17 millions Neverland, son domaine, avec parc d'attraction, Muscles le boa, Bubbles le chimpanzé, et une cohorte d'enfants qu'il faut sauver à tout prix de leurs parents.
C'était une ère d'argent léger pour la musique. Michael Jackson se payait en 1982 un film de 14 minutes en guise de clip, tourné par un colosse de Hollywood, John Landis. Le chanteur commanditera plus tard Martin Scorsese, David Fincher, David Lynch. Quincy Jones, le producteur de la trilogie parfaite (Off The Wall, Thriller et Bad) raconte volontiers les centaines de chansons sélectionnées, les heures passées et repassées dans des studios aux honoraires flambés, l'élégance dispendieuse de ces albums tricotés comme des palais baroques.
Pour la sortie de son album History, Michael Jackson s'était rendu à Budapest pour tourner une vidéo. Sa statue gigantesque de démiurge en or massif devait sortir de terre face à une véritable armée de soldats extirpés de l'infanterie hongroise. Et Michael appelait sans cesse Los Angeles pour obtenir plus de troupes. Avec l'enthousiasme d'un enfant qu'on n'arrête plus.
En 2008, fin de partie. On annonce Michael Jackson comme parrain de la Star Academy, l'année prochaine. La résurrection promise n'a qu'un but. Se renflouer. Les caprices et les névroses de Jacko Wacko, Jacko le barjo, épongés par l'argent d'une industrie dépouillée, ont aussi permis à une forme de création populaire et exigeante de voir le jour. C'était il y a vingt-cinq ans.
ça marche !!!!!klem ogre de benabarback a écrit :avec plaisir Mademoiselle
et on emmenera Jujuju à Montréal
on va plutôt y aller en avion heinLyla a écrit :
ça marche !!!!!![]()
Ah mais non, tu n'es pas comme Jesus, tu ne marche pas sur l'eau toi ????klem ogre de benabarback a écrit :on va plutôt y aller en avion heinLyla a écrit :
ça marche !!!!!![]()
OOh c'est gentil de penser à moiklem ogre de benabarback a écrit :avec plaisir Mademoiselle
et on emmenera Jujuju à Montréal
Me traiterais tu de piplette ????Ephéméride a écrit :en 20 heures tu as loupé 38 messages de Lyla! bonne lecture!
et combien de moi ?Ephéméride a écrit :en 20 heures tu as loupé 38 messages de Lyla! bonne lecture!
Ouais c'est aussi comme ça qu'on a fait Delphes et l'Acropole (deux fois) sans étouffer au milieu de la fouleNum a écrit :en plein été à l'heure de la sieste y avait personne
3 ou 4, ça dépend des nuits ! Faut que t'arrêtes d'écouter Cali toi !!!!jujuju a écrit : Combien de jours de deuil à la mort de Johnny?
Heu ça dépend surtout pour quiLyla a écrit :3 ou 4, ça dépend des nuits ! Faut que t'arrêtes d'écouter Cali toi !!!!jujuju a écrit : Combien de jours de deuil à la mort de Johnny?
Mouais pour moi idem mais apparemment c'est quand même une question super importante pour Mr Bruno Caliciuri puisqu'elle hante ses nuit !!!!!!!laurence* a écrit : Heu ça dépend surtout pour qui![]()
Parce que pour moi...
Ephéméride a écrit :ces parenthèses sont comme deux bras costauds qui m'entourent...klem ogre de benabarback a écrit :(bisou Ephemeride)
je voulais juste faire unLyla a écrit :Me traiterais tu de piplette ????Ephéméride a écrit :en 20 heures tu as loupé 38 messages de Lyla! bonne lecture!![]()
Je t'avais dis qu'ils étaient intelligents ici !!Ephéméride a écrit :je voulais juste faire unLyla a écrit :Me traiterais tu de piplette ????Ephéméride a écrit :en 20 heures tu as loupé 38 messages de Lyla! bonne lecture!![]()
à jujuju car la moitié de la Bretagne venait de refaire surface dans un de tes posts...
Ouais mais c'est quand même plus facile pour Ephéméride parce qu'elle connait très bien la bretagne et qu'elle connait tes goûts géographique !!!jujuju a écrit :Je t'avais dis qu'ils étaient intelligents ici !!Ephéméride a écrit :je voulais juste faire unLyla a écrit :Me traiterais tu de piplette ????Ephéméride a écrit :en 20 heures tu as loupé 38 messages de Lyla! bonne lecture!![]()
à jujuju car la moitié de la Bretagne venait de refaire surface dans un de tes posts...
prend quand même une bombe lacrymo, un couteau et un cuter...on sait jamais hein .....Ephéméride a écrit :![]()
on vient de m'inviter "là tout de suite ça pouvait pas attendre" à un apéro où une surprise m'attend paraît-il!!!
je ne connais pas trop ces gens, ils viennent de s'installer ici et je les ai juste dépanné en récupérant leurs enfants à l'école plusieurs fois, on a discuté de tout et de rien quand ils venaient chercher leurs enfants chez moi, mais c'est bizarre cet empressement...
donc... si je ne reviens pas... adieu!
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non ça va j'y vais avec mon mari et les enfants