ayaiii
il est ds les bacs !!!!
[#ff8d00]" Comment expliquer ce que fut ma découverte de ce 5e album de Weepers Circus intitulé [La monstrueuse Parade] ? Je suis tenté de comparer cela à la révélation que tu as lorsque tu sors de la séance nocturne d'un vieux cinéma de quartier dont le film te laisse [pantois] tant il t'a plu, tant il t'a touché sur bien des points. Je ne connaissais pas Weepers Circus. J'ignore tout des 4 précédents opus. Mais [La Monstrueuse Parade] est un univers tout entier comme seul peut le délivrer un long métrage. En ça, cet album est remarquable !
Hahem hum.
Approchez approchez MÂ’sieurs Dames ! Approchez donc ! Venez découvrir cet univers visuel attirant ! Ce cirque dÂ’un autre temps avec ces visages dÂ’aujourdÂ’hui. Le « Cirque des gens qui pleurent » vous offre ici une [jolie] référence au film Freaks (1932) tout en faisant [définitivement] dans lÂ’intemporel. Je dis bien lÂ’intemporel !
Approchez ! Venez découvrir le Rock expérimental de Weepers Circus ! Vous trouverez des guitares rebelles et [im]pertinentes tantôt électrifiées tantôt acoustiques, des cuivres dynamiques et originaux, des cordes caressantes et des rythmiques toujours efficaces. Je le dis bien haut : Cet ensemble dÂ’instruments quÂ’on pourrait croire hétéroclite [monstruosopiano ? monstrophone ?] construit les ambiances avec un talent qui vous surprendra et vous comblera, MÂ’sieurs Dames !
Venez découvrir la voix hypnotisante dÂ’un Monsieur Loyal haut en couleurs totalement investi dans les contes quÂ’il vous chantera à vous, rien quÂ’à vous ! A chaque titre sa magie propre ! A chaque chanson son texte travaillé [et réussi] ! A chaque piste sa bande son originale – quÂ’elle soit minimaliste ou grandiloquente !
De vous à moi, MÂ’sieurs Dames, jÂ’ai été frappé par le grand nombre de perles musicales que contient cet album. Côté textes, [Seul] et [QuelquÂ’un] sont deux excellents exercices de style [posés sur des musiques elles-aussi travaillées]. [Janvier] est une boule de verre à lÂ’intérieur de laquelle la mélancolie tombe en flocons de neige sur un homme et sa guitare. [Sans vous aimer] est un règlement de compte à plusieurs vitesses [en duo très réussi avec Olivia Ruiz]. [La fille et le Loup] revisite le conte connu dÂ’une façon [totalement] iconoclaste. Isabelle Lux donne la douce réplique sur lÂ’entraînant [Tu perds ton temps]. Enfin, [Le monstre] est digne du Grand Jacques. Et notez bien que je nÂ’évoque là que mon ultime préférence car comme dit précédemment : A chaque titre sa magie. Et il y a non pas 13 ou 14 mais 15 titres de cet acabit, MÂ’sieurs Dames ! [/#ff8d00]
(
http://www.e-zic.com)
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