Les numéros

[Stéfanie]

"Les numéros", chanson numéro 3 de l'album...

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[douche]

c'est moi, ou il y a des accords qui ressemblent à "Monsieur René" :'Marcher sur le fil entre le bien et mal..." ?

[douche]

c'est moi, ou il y a des accords qui ressemblent à "Monsieur René" : "Marcher sur le fil entre le bien et mal..." ?

[Num]

enfin des cordes (un petit peu en tout cas au vu du livret) qui sont pas là pour dire "c'est triste, pleurez ici" ; à partir de 0'45" en gros et d'ailleurs l'ajout des instruments est plutôt pas mal fichu sur le morceau..... même si la musique fait un peu Eddy Mitchell, ah oui comme Monsieur René donc (cf Ris Orangis 2003 par exemple)

"quand on aime on a toujours.... du bol", c'est rigolo mais à part ça, faire le lien entre "numéro à retenir" et "numéro d'équilibriste" c'est tellement capillotracté que ça devient un numéro d'équilibriste pas franchement réussi (même si j'apprécie qu'on parle de moi, hein Bruno )

[anaïsthérique]

"On en oublierait presque le munéro d'equilibriste , le seul qui compte et qui consiste a ne pas tomber"
Quelqu'un sait pourquoi ce refrain?
"Mais vous savez quand même, on sait tous parfaitement, que quand on aime, on a toujours ... du bol"
Quelqu'un sait pourquoi ce couplet?
Bon, ce n'est pas un commentaire de texte mais quand même, je me pose la question à chaque écoute!
Suis je la seule à ne pas comprendre le lien entre les deux?
Ya de l'idée, elle aurait pu être pas mal cette chanson, sincerement!
Un inventaire de numéros, c'est un bon thème comme les photos dans les epices du souk du Caire.
Mais le refrain gache un peu tout. C'est dommage!

[Num]

c'est (je crois) le parallèle entre numéro (chiffré à retenir) alors que le plus important c'est le numéro d'équilibriste (le bien, le mal, le bof etc)... si c'est bien ça, c'est casse gueule comme parallèle, si je peux filer la métaphore...

pour la suite, ben c'est un truc à la Michel Sardou Leforestier

"Mais vous savez quand même,
on sait tous parfaitement,
que quand on aime,
on a toujours ... "

Comme tu connais la phrase (non ?) et que tu vois bien la rime venir (et le nombre de pieds), tu ajoutes "20 ans" et lui dit "du bol" J'aime bien ce passage, je me suis fait avoir la première fois et je souris quand j'écoute cette partie de la chanson (ce qui est pas si fréquent...)

[Ananais]

Un inventaire de numéros, c'est un bon thème comme les photos dans les epices du souk du Caire.
Mais le refrain gache un peu tout. C'est dommage!

J'suis assez d'accord avec toi!
En fait j'adore le début de la chanson et pis ensuite ben ça se gâte... c'est dommage! La fin est encore récupérable! C'est vraiment le milieu le problème

[anaïsthérique]

Merci de m'eclairer Num!
Pour la metaphore avec l'equilibriste, je trouve ça pas vraiment efficace, le bien, le mal, le pas terrible: c'est pas simple de piger le lien avec les numéros.
Mais comme il le dit lui même dans sa chanson "infréquentable": "En plus mes metaphores sont nulles, j'suis pas du tout au niveau!" Il ne peut pas être bon a tous les coups!
Pour le coup des 20 ans : je dois reconnaitre, que je n'avais pas pensé à ça et que grace à toi, je vais pouvoir ecouter la chanson d'une autre oreille et moi aussi, sourire à ce passage!
Ce n'est pas ma preferée de l'album, c'est sur, mais peut être prendra t'elle une autre tournure en concert... ("Tu peux compter sur moi", j'accrochais pas avant de l'entendre en live. Faut dire que c'etait la chanson d'ouverture, et que l'entrée de Benabar rendrait n'importe quelle chanson grandiose!! J'en fais trop c'est ça???!! )

[LaurenceR]

Apparemment, la phrase "Quand on aime on a toujours vingt ans" vient d'une chanson de Jean-Pierre Ferland ; ça a été repris par Antoine dans ses Elucubrations.

A part ça, moi j'ai compris de cette chanson que les numéros sont là pour nous rassurer par leur côté objectif, mais que ce qui compte ce sont toutes les nuances possibles entre les deux extrêmes du bien et du mal, et que pour ça on doit faire des choix beaucoup moins confortables ! (Je n'ose pas relire ma phrase, je crains qu'elle ne veuille rien dire )

[shura]

moi j'adore la musique de cette chanson.. je la trouve intrénente..

Après pour les paroles, je suis comme certain je ne comprenais pas le : quand on aime on a toujours du "bol"??!!
merci de m'avoir éclairer... je l'écouterai peut-etre d'une autre oreille

Autrement... pour l'équilibriste, je le vois comme laurence R... Les numéros => objectif, sans faille
le numéro d'équilibriste=> pas de repere, on peut tomber a tout instant d'un coter ou de l'autre..

Aneisthérique => moi s'est la meme chose mais pour :"la berceuse" que j'accrochais pas du tout sur le cd mais mtn j'adore....

[jmad]

Pas la peine de chercher dans une chanson plus ou moins connu la phrase "quand on aime on a toujours 20 ans"
C'est quand même une expression de la langue française que tout le monde connait
Du moins ceux et celles de ma génération, ce qui va me faire prendre un coup de vieux sur le forum

[Num]

C'est quand une expression de la langue française que tout le monde connait

ben la preuve que non (cf posts au dessus) (EDIT ah oui t'as rajouté une phrase ensuite, ça change tout ^^ /EDIT)

et quant au fait que ce soit une expression "de la langue française" (sous entendue "qui existe depuis toujours et qui n'a pas d'origine connue"), j'en mettrai pas ma main au feu (mais j'ai peut être tort), y a tellement de mots ou d'expressions qui entrent dans le langage courant sans qu'on sache par la suite d'où ils viennent

[jmad]

Tu as certainement raison Num, c'est juste une question de génération, et comme je suis de la même que celle de Bénabar, je connais l'adage. Mais sincèrement, je pensais que tout le monde disais ça.

[milou]

Juste un passage éclair :
C'est marrant j'ai de suite eu l'impression qu'il parlait de Num.

Tu m'excuseras hein mais bon B. qui parle des "numéro vert" y'a un leger choc ...

(bises les barges)

[Damien A.]

Un inventaire de numéros, c'est un bon thème comme les photos dans les epices du souk du Caire.
Mais le refrain gache un peu tout. C'est dommage!

J'suis assez d'accord avec toi!
En fait j'adore le début de la chanson et pis ensuite ben ça se gâte... c'est dommage! La fin est encore récupérable! C'est vraiment le milieu le problème

Idem (Patriiiiiiiiiiiickk).

Le début est très prometteur puis dès qu'on arrive au refrain la première fois, je tombe de haut (enfin pas tant que cela vu le reste de l'album). Le pire c'est que le refrain revient très souvent. La fin, à mon sens, est pas récupérable vu que y'a encore le refrain. Ca me rappelle une remarque de ma prof de français en seconde qui m'avait dit qu'aux premières lignes de mon devoir j'étais à quinze et qu'arriver au terme du devoir c'était passé à huit (et qu'est ce que j'avais pu lui en vouloir à l'époque).

[Béabarge]

Juste un passage éclair :
C'est marrant j'ai de suite eu l'impression qu'il parlait de Num.

Tu m'excuseras hein mais bon B. qui parle des "numéro vert" y'a un leger choc ...

(bises les barges)

Mais pourquoi B. ne s'inspirerait pas des barges ?

Je la zappe encore celle-là...excuse moi, Num, rien à voir avec toi...

Bises Milou !

[meufir]

La musique sauve le texte... super faiblard comme texte du reste...
C'est le même principe que pour LES EPICES DU SOUK DU CAIRE mais écrit à la va-vite... Dommage...

[Elladan44]

La musique sauve le texte... super faiblard comme texte du reste...
C'est le même principe que pour LES EPICES DU SOUK DU CAIRE mais écrit à la va-vite... Dommage...

Je ne suis pas d'accord avec toi, soit la musique est bien mais le texte également même s'il peut sembler répétitif. Mais ne serait-ce pas là l'objectif de toutes ces "énumérations" dans la chanson? En effet, tous ces numéros n'ont-ils pas pour but de nous faire comprendre que l'on passe à côtés de l'essentiel en se penchant sur quelques détails de la vie afin de nous rassurer?
Enfin à chacun ses interprétations...

PS: jmad je ne pense pas que connaître l'adage "quand on aime on a toujours 20 ans" soit une question de génération puisque sans vouloir te vexer je ne suis pas de la même génération que toi.

[douche]

PS: jmad je ne pense pas que connaître l'adage "quand on aime on a toujours 20 ans" soit une question de génération puisque sans vouloir te vexer je ne suis pas de la même génération que toi.

Trop tard il est vexé

[Lyla]

Sans aucun doute le morceau de l'album qui me laisse le plus indecise: je n'y vois quasiment que des faiblesses et pourtant, par je ne sais quel miracle, il ne me déplait pas. D'ailleurs c'est souvent celui que je me surprend à fredonner sous ma douche ou en faisant ma vaisselle. Mais procédons par étape: j'ai évoqué des faiblesses et elles sont nombreuses notamment en ce qui conscerne le texte: quel manque d'inspiration! Dans son inventaire à la prevert (ou à la Aldebert pour faire plus récent) Bruno ne cible rien et mélange tout! En fait ce qui choque surtout c'est que cette chanson semble en réalité en contenir deux seulement relier par un mot: numéro! Certes mais c'est LE mot clé de cette troisième piste me direz vous surement. Ce à quoi je répondrais: Ok mais tout de même! Cette énumération (c'est le cas de le dire) a l'air d'avoir été ecrite juste pour broder autour des quelques vers: " Marcher sur le fil entre le bien et le mal [...] faut essayer de tomber du bon côté" et autour du "refrain". Ou bien B. nous écrit une chanson sur les numéros proprement dit (portable, digi-code etc...) et sur l'importance de ces nombres dans nos vies ou bien il écrit une chanson sur ce qu'il nomme "le numéro d'equilibriste", sur la difficulté de ne pas basculer du côté obscur de la force (lol)! Mais là je ne comprend pas le but qu'il cherche à atteindre en imbriquant les deux !? En fait il créer un lien entre ces deux "parties" non par le fond mais par la forme, sachant en plus qu'il n'emploit pas pour cela une expression usuelle (ce qui à la limite pourrait signifier qu'il cherche à mettre en exergue le sens de cette expression) mais une métaphore bien à lui. Resultat: on a vraiment l'impression d'un patchwork mal assorti et on perd un peu le sens de la chanson en route. C'est dommage parce que les deux idées, prisent séparemment, peuvent être intéressantes et qu'il y a, comme d'hab', des petites feintes sympathiques (le PIB de l'Ukraine, la distance du cent mètre...) qui donne du charme au résultat final. Côté musique c'est un morceau qui se tient mais qui est un peu convenu (début sobre puis entrée de la batterie...). La base est au piano, à l'ancienne (et ça fait du bien!), les cuivres sont là pour emballer et entrainer le tout. C'est surement à cause de ces derniers que la chanson reste sur les lèvres un bon moment après l'écoute et qu'elle est, somme toute, agréable.