Règles du forum
Bienvenue dans la section "Artistes à découvrir"!
Cette section est importante, car elle nous permet de partager nos trouvailles ; à ce titre, elle contient essentiellement des artistes qui passent peu sur les médias et/ou qui débutent tout juste (mais vous trouverez des exceptions de taille!! )
N'oubliez pas d'avoir la liste qui a été créée pour éviter les répétitions inutiles.
Voici donc quelques recommandations pour que ce forum reste convivial et lisible :
- avant de poster un nouveau sujet merci de vérifier dans la liste si l'artiste dont vous voulez parler n'y figure pas déjà ,
- au besoin, utilisez la fonction Rechercher (Ctrl + F)! dans cette liste (celle du forum n'est pas super fiable)
Merci d'avance!
Je l'ai découvert grâce à Myspace et vraiment il vaut le détour. écoutez-le ici...
Pour en savoir plus sur lui voici un aperçu de ce qui se dit de lui :
Pablo Krantz, chanteur, guitariste, écrivain, ex-vendeur de lingerie féminine, compositeur de tubes encore inconnus. Né à Buenos Aires en 1970, Pablo Krantz connaît une carrière solo prometteuse en Argentine de 1997 à 2001. Ses débuts en 1989 le conduisent à la tête de nombreux groupes de rock. Dès 1997, il publie en solo trois disques de rock et deux livres de nouvelles. Son talent de song-writer est alors reconnu par tous les « quality-papers » argentins (La Nacion, Clarin, Pagina/12) ainsi que par la presse rock locale (Rolling Stone, Les Inrocks). Tous vantent son talent d´écriture influencé par les Cohen, Dylan, Lou Reed, son jeu de guitare, sa singularité musicale proche des Violent Femmes. Alors que sa carrière prend réellement son essor, ses disques se vendent, ses concerts sont complets, son livre « Donne moi une voiture si rapide que les souvenirs ne la rattrapent pas » connaît un joli succès, la violente crise économique argentine de 2001 le contraint à l´exil en France. Sa parfaite connaissance de la langue française - il fut traducteur de la version argentine des Inrocks, son père est un fidèle lecteur des Temps Modernes - son naturel et son aisance lui permettent de s´intégrer rapidement. Tout est à refaire à Paris, et le talent devra s´affranchir des frontières. Dès 2002, Pablo Krantz joue comme guitariste du chanteur Travis Bà¼rki (alias àœ) avec qui il fait une cinquantaine de concerts, des tournées ainsi qu un album, « Après les dancings ». Ses qualités reconnues de musicien, de performer et son ouverture lui font multiplier les collaborations avec des musiciens d´horizons différents : François Béru (chanteur de Bérurier Noir), Vincent Artaud, le groupe de musique traditionnelle népalaise Sukharma. Vivant désormais en France et comptant y faire sa vie, Pablo Krantz compose en français. Si vous voulez l´agacer, dites-lui que sa double culture franco-argentine doit le mener vers les rivages de la world-music. Non, Pablo Krantz n´aime pas le tango, sa référence c est plutôt Gainsbourg !
Et la pochette de son prochain album qui sort en septembre :
Vendredi dernier, le concert au zebre de Belleville a ete excellent. Un article doit etre ecris la dessus ds Libe.
La salle etait pleine et l'ambiance tres chaude.
Au choeur, il y avait Julie B.Bonnie (ex Cornu & Forguette-me Not), à la basse Benoit Pimont qui a travaillé avec Tom Novembre et Alberto le batteur mexicain, bref le set fut parfait !
Et Pablo en redingote noire et chemise rouge, c'est tres classe!
J'ai trouve une bio de Pablo Krantz tres interressante,
Pablo Krantz est un grand garçon (frisé) qui sourit peu. Mais quand il le fait, ses sourires sont précieux. Ils ont cette élégance désinvolte de ceux qui continuent à porter des costumes trois-pièces quand tout va à peu près mal. Cet exilé qui ne semble pourtant pas étranger à lui-même a quitté lÂ’Argentine en janvier 2002 au pic dÂ’une crise qui prenait sérieusement des airs de guerre civile. Il sÂ’est naturellement rendu à Paris, dans cette ville où son père avait habité à la fin des années 1950, étudiant dans le génie nucléaire et qui nÂ’allait jamais complètement se remettre de cette philosophie existentialiste dont Saint-Germain-des-Prés préserve le souvenir. A Paris, Pablo Krantz a continué de faire ce quÂ’il faisait à Buenos Aires. Il a écrit, chanté et joué de la guitare. A la seule différence, quÂ’il lÂ’a fait dans la langue de Gainsbourg. On pourrait établir des parallèles dans cette manière quÂ’ils ont chacun, le maître et lÂ’élève, dÂ’esquisser une mélodie comme sÂ’ils chantaient à lÂ’oreille de leur public, et aussi dans cet art de tordre la langue afin de lui redonner tout son sens au fil de formules jetées comme des slogans. Traduits, les deux premiers recueils de nouvelles de Pablo Krantz gardent cette gravité absurde, ce sens de lÂ’humour qui dit « Donnez-moi une voiture si rapide que mes souvenirs ne puissent la rattraper » (1997) et « Le matin où la loi de la gravitation a échoué » (2001). Pablo Krantz les a publiés presque en même temps que ses deux premiers albums, « Trop de temps nulle part » (1999) et « Les étrangers ne disent jamais adieu » (2001). En espagnol, il chantait dÂ’une voix haute, probablement pour dominer un rock influencé autant par Sonic Youth, Violent Femmes que par les Pogues. Un mixte de noisy rock et de bastringue irlandais qui le ramenait à ses émois adolescents. Né en 1970 à Buenos Aires, mais élevé de ses 2 semaines à ses 2 ans à Los Angeles, il a pris tout ce quÂ’il pouvait dans un pays longtemps coupé du reste du monde, Kinks, Stones, Joy Division, Velvet Underground, Bowie, Television, Richard Hell, Patti Smith puis Bob Dylan, Leonard Cohen et Nick Drake. Ses cours de guitare à 14 ans alternaient entre lÂ’enseignement du classique et les reprises de ses héros. Mais, déjà , il avait le français à lÂ’oreille. Placé dès le début de la junte militaire au pouvoir (1976-1983) dans une école franco-argentine, il a vécu cette langue comme un étrange objet de sonorités le sortant du quotidien.
Ecrire aujourdÂ’hui en français lui permet paradoxalement dÂ’aborder ses sentiments dÂ’une manière frontale, même sÂ’il les relève de dérision. Il ne faudrait pas dévoiler les secrets dÂ’arrièreboutique. Mais pour un couplet gardé, il en faut dix à Pablo, pour fignoler cette matière qui nÂ’est pas sa langue maternelle (la mère est psychanalyste, au passage). Et, en sÂ’attardant de la sorte, lui trouver un mot plus juste que celui qui serait spontanément sorti en espagnol. Durant deux ans, Pablo Krantz a ainsi écrit les titres de son nouvel album « Les chansons dÂ’amour ont ruiné ma vie » SÂ’il a mis autant de temps, lui qui traduisait « les Inrockuptibles » en trois jours (et trois nuits) pour sa version argentine, cÂ’est quÂ’il a de front écrit le recueil de nouvelles « Le saint cleptomane et la fille au vagin doré » (édition Les Petits Matins, octobre 2005) et le roman dÂ’aventures "Les héritiers (une aventure de Paul et Nadia)" (sortie en janvier 2007 chez Tournon) au milieu de ses autres activités de musicien. On pense notamment à ses deux albums avec Travis Bà¼rki (àœ), « Après les dancings » (2002) et « La luge » (2004). Ensemble ils ont fait une cinquantaine de dates. Entre deux concerts quÂ’il faisait également à Paris sous son nom (Limonaire, Connétable) ou à Fribourg, Barcelone et Crozon, dans le Finistère Sud, Pablo se réfugiait, guitare électrique débranchée, dans sa salle de bains pour roder ses chansons pendant que sa compagne travaillait comme serveuse de nuit. DÂ’une voix grave quÂ’il se découvrait avec le français, il a couché sur un mode narratif lardé dÂ’images surréalistes des histoires quÂ’on se fait quand on a raté son heure de sommeil. Histoires de « mer qui nÂ’en finit plus de n'en plus finir », de « Babel » et dÂ’ensorceleuse au nom de légende (« Dalila »), dÂ’eau et de terres au parfum biblique. Il y a chez Pablo Krantz des « autoroutes brillantes qui ne mènent nulle part », des « tours du monde en quatre-vingts nuits » et des samedis soirs dont les rêves sont les cauchemars du lendemain. Il y a dans ces centaines de pistes de voix, de choeurs et de guitares quÂ’il a enregistrées entre Montrouge, Bagneux et Buenos Aires une manière de poser ses rêves à plat pour connaître véritablement la distance qui nous séparent dÂ’eux. Une volonté dÂ’être lucide pour savoir comment décrocher la luneÂ… une fois quÂ’on sait où elle se trouve.
Si vous voulez ecouter plus de Pablo Krantz, il y a deux nouveaux titres sur sa page, www.myspace.com/pablokrantz
Et si, avant la sortie de l'album vous voulez le voir live, il tourne a paris, lyon ou toulouse.
Bref, 2007 est une bonne annee!
"Du rêve en mélodies - Troubadour à la voix chaude, il nous murmure à l'oreille sa poésie, nous chuchote ses petits mots du quotidien. Pablo Krantz quitte l'Argentine en 2002 et emporte avec lui sa guitare et son gout des jolies histoires". Celui pour qui "le rêve du samedi, c'est souvent le cauchemar du dimanche » a peaufiné durant deux ans son album « les chansons dÂ’amour ont ruiné ma vie. On retrouve cette gravité absurde qui lui va si bien : « je préfère rester mais mourir de la routine », chante-t-il. Et sÂ’il parle cafard, il ne tombe jamais dans le spleen. »
J'me suis enfin décidée à acheter son disque et j'aime beaucoup beaucoup... j'adore son accent chaleureux, qui me rappelle un peu celui de mon père !
Bon ben voilà , une très bonne découverte et j'espère aller le voir en concert au Zèbre de Belleville le 7 juin...
Quand je veux m'jetter du pont du Carroussel
Je me dis finalement non la vie est belle
Quand quelqu'un me dit Dieu que la vie est belle
J'voudrais me jeter du pont du Carroussel
Ananais a écrit :J'me suis enfin décidée à acheter son disque et j'aime beaucoup beaucoup... j'adore son accent chaleureux, qui me rappelle un peu celui de mon père !
Bon ben voilà , une très bonne découverte et j'espère aller le voir en concert au Zèbre de Belleville le 7 juin...
Je te souhaite d'y aller...
Je le verrais samedi 19 mai à Bordeaux et me régale d'avance !!
En plus il est très gentil et abordable
Pour ceux ou celles qui sont curieux de l'entendre... ( message subliminal " achetez son cd " ) une info : PASSAGE RADIO le 28 mai dans LE FOU DU ROI, sur France inter, de 11 à 12h30. La preuve !
Est-ce de ma faute à moi si j’aime le café et l’odeur des ptits chats
me coucher tard la nuit me lever tôt après minuit
aller au resto et boire des diabolos ?
à notre santé !
Est-ce de ma faute à moi si j’aime le café et l’odeur des ptits chats
me coucher tard la nuit me lever tôt après minuit
aller au resto et boire des diabolos ?
à notre santé !
Ananais a écrit :J'me suis enfin décidée à acheter son disque et j'aime beaucoup beaucoup... j'adore son accent chaleureux, qui me rappelle un peu celui de mon père !
Bon ben voilà , une très bonne découverte et j'espère aller le voir en concert au Zèbre de Belleville le 7 juin...
"Je voyais passer des ombres, et quand je les appelais, comme dans un autre monde, le brouillard les avalait..." -monsoleiiil- "Celui qui anticipe tous les dangers ne prendra jamais la mer."
Est-ce de ma faute à moi si j’aime le café et l’odeur des ptits chats
me coucher tard la nuit me lever tôt après minuit
aller au resto et boire des diabolos ?
à notre santé !
annenenette a écrit :Au fait quelqu'un l'a vu aux INDà‰TENDANCES à Paris cet été ?
...au fond j'avais prévu d'y aller mais finalement c'était le même jour où fée de passage et moi on a fêté notre anniversaire, donc voilà ...
...ça sera pour une prochaine fois
"Je voyais passer des ombres, et quand je les appelais, comme dans un autre monde, le brouillard les avalait..." -monsoleiiil- "Celui qui anticipe tous les dangers ne prendra jamais la mer."
Pablo jouera ce samedi à€ LA ROCHELLE
Il en parle sur Myspace : JE LE CITE :
" à‡a fait longtemps que je donne pas de mes nouvelles et je m'en excuse, mais je suis enfermé depuis un mois et demi en train d'écrire le tome 2 de mon roman d'aventures Paul et Nadia. Il sort chez Tournon le 29 octobre prochain et, si tout se passe fantastiquement comme il se doit, d'ici deux heures au plus j'en aurai écris le dernier mot...
Ce samedi (22 septembre) je jouerai dans une super salle qui s'appelle La Poudrière, à Rochefort, tout près de La Rochelle. J'espère que ceux qui habitent dans le coin viendront nous voir jouer. J'y passerai avec tout mon groupe : Benoît Pimont à la basse, Alberto Cabrera à la batterie et Julie Bonnie aux choeurs, qui se chargera aussi de la première partie.
Le prix des places est de 7 euros.
L'heure est à 21 h.
L'adresse est la suivante : Salle de la Poudriere - Bassin de Plaisance - Rochefort (17)
infos / réservations : 05 46 82 10 40
infos de derniére minute : 06 18 86 78 31
Je vous prie d'agréer, chers myspaciens, tous mes voeux de bonheur pour votre futur proche et lointain.