


Modérateur : Modérateurs
Allez, encore un autre...Num a écrit :encore un film de 2007
Num a écrit :Film que j'ai le moins aimé (et je suis le seul apparement) et qui m'a le plus déçu en cours de film (à cause de Louis Garrel) "Les chansons d'amour"
Alors, finalement, les acteurs, ça compte quand même un peu aussi, on dirait, même pour toi...le même Num, [url=http://benabar.pifpaf.ch/viewtopic.php?p=236156#236156]le 2 septembre 2007[/url], a écrit :comme je mets bien plus d'importance au réalisateur qu'aux acteurs
Oui mais en même temps, ce forum est fréquentée en majorité par des femmesNum a écrit :j'admets que je suis pas rationnel quand y a Louis Garrel dans un film mais là je crois pas que ce soit ça. J'avoue que j'ai relu le fil 2007 pour faire mon classement et voir que tout le monde sauf moi trouve Louis Garrel beau et talentueux a peut être un peu orienté le côté provoc de la phrase en question...
et pas des moindresAnanais a écrit : Oui mais en même temps, ce forum est fréquentée en majorité par des femmes![]()
J'ai trouvé que c'était un très beau film, les acteurs sont tous formidables (et l'actrice très belle)... Et c'est vrai que la scène d'amour est... surprenante !Télérama a écrit :Ne tournons pas autour du pot : Alex, l'héroïne de XXY, est atteinte d'une « ambiguïté génitale ». Appelez-la hermaphrodite (comme dans Middlesex, de Jeffrey Eugenides, le roman de référence sur le sujet) ou intersexuelle, ou voyez-la simplement comme un(e) adolescent(e) de 15 ans, d'apparence féminine, plus interdit(e) qu'un(e) autre devant les transformations de son corps. Est-ce l'âge du choix de son identité sexuelle, avec chirurgie à la clé, comme le pense sa mère ? Mais comment choisir... ?
Primé à la Semaine de la critique, à Cannes, ce premier film argentin intrigue par son sujet - à l'image d'une très surprenante scène d'amour dont les festivaliers se chuchotaient le récit sur la Croisette -, et il séduit dès qu'il le dépasse : les émois d'Alex, d'Alvaro, le fils d'amis de ses parents, et des jeunes qui se croisent sur une lande côtière d'un coin paumé de l'Uruguay sont évidemment universels, de même que les interrogations des adultes face à la sexualité de leurs enfants...
Dans la lignée d'une Lucrecia Martel (La Nià±a santa), Lucia Puenzo démontre dans la première heure un vrai talent de cinéaste, saisissant avec sensibilité des personnages qui se cherchent et qui partagent maladroitement des bribes d'informations et d'émotions. Elle s'appuie sur la performance électrisante de sa comédienne principale, Inés Efron, 22 ans, tout en colère et en souffrance mêlées. Et puis le récit faiblit au fur et à mesure que les zones d'ombre disparaissent, affichant ici et là un symbolisme un peu lourdaud. Miracle néanmoins : un sujet casse-gueule ne fait pas trébucher le film...
Aurélien Ferenczi
1/10ème, plutôtMarieogrenette a écrit :EDIT : mon à‰mile est au 1/100ème...![]()
1/100 de 1000, ça fait 10 messages...ton 10e post, ça remonte quand même à quelques mois ^^...finalement, ton profil a écrit :Messages: 101