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Pour écouter tout (ou presque) Bénabar, y a beaucoup de choses chez Deezer. Un gentil internaute a fait la liste ici
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Pour moi, y'a effectivement pas de faute...
C'est plutôt une critique qu'une confession...
Elle aime les garcons, c'est pas une tare... En revanche, les garcons qui n'assument pas, ca c'est une tare...
ejdcjdr...
Le webmaster, qui intervient pour la premiere fois sur le nouvel album, si, si...
C'est plutôt une critique qu'une confession...
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/ Y'a des détails qui trompent pas
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- milou
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pour moi dans redemption y'a pas de notions de fautes....Num a écrit :ben moi c'est la notion de "faute" qui me gêne, je ne pense pas que Bénabar accuse (et rachète), d'où mon explication plus haut.
Alain a écrit :
J'ai un peu oublié que plus rien n'avait d'importance, que peut être, je n'avais pas d'importance.Rewind.Plein de bonheur. Même si cela ne dure pas. Malgré tout, je voudrais qu'on souvienne de moi.
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Ah meeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeerde ! y'a des trucs zarbis, dans ce forum ...Num a écrit :Josss a édité son message où il donnait les définitions![]()
S'il y a rachat, ça implique bien qu'il y ait eu faute avant, non?
rédemption n. fém.
1. Rachat du genre humain par Jésus-Christ. [Avec une majuscule dans ce sens.]
2. Ce qui rachète quelqu'un, répare une faute.
Selon son sens étymologique, le terme rédemption (du latin redemptio ) désigne le «rachat » d'un captif dont on paie la rançon.
Elevé avec des bulles ... j'ai gardé le côté pétillant.
En effet, je pétille de connerie.
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nan nan, "gné", ct juste. connerie surSophie a écrit :gné ? ou alors c'est encore ton jeu du mokimank??Josss a écrit :pour moi, dans la notion, y'a pas de faute de rédemption
"pour moi dans redemption y'a pas de notions de fautes...."
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- Num
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Merci Josss (c'est plus clair)Josss a écrit :Ah meeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeerde ! y'a des trucs zarbis, dans ce forum ...
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Je le rattachais surtout à la notion de sauvetage .... pas de rachat de la faute ....Num a écrit :Merci Josss (c'est plus clair)Josss a écrit :Ah meeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeerde ! y'a des trucs zarbis, dans ce forum ...
rédemption n. fém.
1. Rachat du genre humain par Jésus-Christ. [Avec une majuscule dans ce sens.]
2. Ce qui rachète quelqu'un, répare une faute.
Selon son sens étymologique, le terme rédemption (du latin redemptio ) désigne le «rachat » d'un captif dont on paie la rançon.
Alain a écrit :
J'ai un peu oublié que plus rien n'avait d'importance, que peut être, je n'avais pas d'importance.Rewind.Plein de bonheur. Même si cela ne dure pas. Malgré tout, je voudrais qu'on souvienne de moi.
Tout dépend du point de vue d'où on regarde: dans la chanson la Nathalie est vivement rejetée et critiquée par les autres nanas (prêtes à lui tondre les cheveux quand même
) et méprisée par les représentants du sexe dit fort (qui refusent en public de lui tenir la main..). L'histoire de la faute je la vois du point de vue des nanas (les mecs y s'en foutent) mais disons que Nathalie est vue par les filles comme une pute soyons clair (on tondait les cheveux des femmes qui avaient couché avec un allemand). D'où la notion de faute..
Par contre si on considère la chanson dans sa totalité,Bénabar est evidemment du coté de Nathalie qui de toute évidence ne méritait pas l'opprobre qu'on a jeté sur elle..Bénabar fustige la lacheté des mecs et l'hypocrisie des filles..


Par contre si on considère la chanson dans sa totalité,Bénabar est evidemment du coté de Nathalie qui de toute évidence ne méritait pas l'opprobre qu'on a jeté sur elle..Bénabar fustige la lacheté des mecs et l'hypocrisie des filles..

Prends l'fouet! Il est sous le lit...
- Num
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Assez d'accord mais je relativiserais en parlant plutôt de la lâcheté de certains mecs (ceux qui couchaient avec elle au lycée) et de l'hypocrisie (la cruauté?) de certaines filles (les perfides petites saintes), ceux (et celles) qui ont fait du mal à Nathalie.
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Num a écrit :Assez d'accord mais je relativiserais en parlant plutôt de la lâcheté de certains mecs (ceux qui couchaient avec elle au lycée) et de l'hypocrisie (la cruauté?) de certaines filles (les perfides petites saintes), ceux (et celles) qui ont fait du mal à Nathalie.

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je l'écoute en ce moment et ça me fait pleurer ... 

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Bisou Petite Fleur
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Est-ce de ma faute à moi si j’aime le café et l’odeur des ptits chats
me coucher tard la nuit me lever tôt après minuit
aller au resto et boire des diabolos ?
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Urban Trip Paris
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Hey n'oubliez pas qu'elle a un mari et des gosses. Et n'oubliez pas qu'ils faisaient moins les fiers dans ses bras, c'est une maigre consolation mais c'est un pouvoir...
Moi je préfère les ricochets (d'ailleurs je l'écoute peu je sais dans quel état ça me met)
Moi je préfère les ricochets (d'ailleurs je l'écoute peu je sais dans quel état ça me met)
Le bonheur ça se trouve pas en lingots, mais en petite monnaie !
Comme je le notais dans le « café », je trouve deux choses bancales dans cette chanson : la référence aux femmes tondues et lÂ’entrée en matière. Comme Num mÂ’y a si gentiment invitée, je développe ici mes brillantes idées ! Faut pas me le dire deux foisÂ… Dès que se présente lÂ’occasion de mÂ’écouter écrire (on écoute bien la frange de Carla Bruni pousser, alors pourquoi pas), je fonceÂ…num a écrit :limite faudrait mettre ça dans le fil sur la chanson de l'album
Alors, tout dÂ’abord la référence à la libération. Je trouve que lÂ’image est trop forte, disproportionnée, caricaturale. Bénabar est beaucoup plus doué, à mon sens, quand il souligne des choses en mentionnant des détails a priori insignifiants (je développerai ça après. DÂ’abord la critique !). La référence à la tonte des femmes accusées de collaboration, cÂ’est un peu beaucoup tire-larme quand même. Un peu comme les cordes, musicalement. CÂ’est tellement connoté « attention émotion!!!» quÂ’on flirte toujours avec la caricature. CÂ’est dangereux. Alors, certes, lÂ’image des résistants qui se transforment en bourreaux à la libération rend bien compte du mélange des genres (« y a les bons les méchants » quÂ’il disaitÂ…). De la cruauté qui peut surgir de nÂ’importe où, de nÂ’importe qui. De la banalité du mal. Ok. Mais cÂ’est quand même un peu caricatural je trouve.
LÂ’entrée en matière à présent. Je trouve tout ça très poussif. En moins de huit vers, la protagoniste réussit quand même à nous glisser son prénom (« cÂ’est moi, cÂ’est Nathalie »), le lien quÂ’elle a eu avec son interlocuteur (« on était ensemble au lycée »), lÂ’évolution de leur relation (« tu me reconnais pas ») et sa situation actuelle (« jÂ’ai changé, jÂ’ai des enfants un mari ») ! CÂ’est quand même hyper rapide, ça sent les grosses ficelles de scénariste ! Ca fait un peu équivalent en chanson des vieux flash back cinématographiques avec lÂ’image qui se trouble petit à petit, pour pouvoir raconter vite fait les épisodes précédents au spectateur. Les vers eux-mêmes sont hachés (rythme binaire très marqué dans "bah quoi/t'as l'air surpris" par exemple, ou bien petit « mais si » isolé comme un cheveu sur la soupe). Les sonorités sont assez dures. Le début coule mal.
Ceci dit, ce début un peu chaotique est peut-être tout à fait calculé par lÂ’auteur. Après tout, ça rend bien compte de la situation. Les retrouvailles forcément génantes des deux personnages. Un garçon sans doute honteux de son comportement dÂ’alors. Une jeune fille partagée entre le souvenir de son mal-être passé et la satisfaction de pouvoir régler ses comptes aujourdÂ’hui. Régler ses comptes en parlant, dÂ’abord. Le match verbal est à sens unique. Le jeune homme, jadis si prompt à tenir « conférence », est devenu bien laconique. Il ne parvient quÂ’à articuler un « tiens quÂ’est-ce que tu fais là ? » introductif et le court « mais si » (seul vers de deux pieds de la chanson). Le rapport de force a donc manifestement évolué.
Cette évolution est finement rendue par le jeu des pronoms personnels et des appellations. Par le passé, Nathalie est complètement désindividualisée. Elle est réduite à un type, une catégorie (« jÂ’étais de celles »). Elle nÂ’est que lÂ’accessoire (la copine de la jolie). Le surnom dont elle est affublée nÂ’a rien de personnel. « Machine » rendant aussi bien compte de lÂ’indifférence de ses camarades à son égard, de lÂ’absence de considération, que de la déshumanisation (à la limite) dont elle fait lÂ’objet (« machine » pris littéralement, de la même façon que son « corps » est analysé comme une souris). Mais, aujourdÂ’hui, cÂ’est Nathalie qui prend la parole. Le texte est donc saturé de « je ». Inversement, le jeune homme perd en singularité. Il se dissout dans la deuxième personne du pluriel, est amalgamé aux autres « petits hommes des cavernes » et nÂ’est jamais individualisé par un prénom.
Troisième marque, évidemment, de lÂ’évolution, le point de vue de Nathalie. CÂ’est Nathalie qui raconte la scène. Elle prend la place de lÂ’analyste. Elle est protagoniste aussi bien que commentatrice. Elle nÂ’est plus la « souris quÂ’on dissèque », elle est le scientifique qui opère. Le garçon est celui qui se trompe (« Que vous pensiez viriles », « Vous apparaissait », « Oubliant »). Les Saintes Nitouches sont celles qui « ignorent ». Nathalie est celle qui sait (« Je savais pourquoi », « Je le sais, je lÂ’affirme »). Adoptant le point de vue de lÂ’observateur, Nathalie raconte dÂ’ailleurs les choses froidement. Sans tomber dans de grands discours accusateurs, elle se borne à raconter les faits. « Vous veniez chez moi / Mais dès le lendemain / Vous refusiez en public / De me tenir la main ». Les faits bruts sont assez accusateurs. Ils suffisent à confondre le jeune homme. Ils suffisent à créer lÂ’émotion. CÂ’est en mentionnant cette main non tenue, ces yeux laissés ouverts pour guetter que Bénabar réussit le mieux, je trouve, à émouvoir. Pas besoin de recourir aux grandes images historiques.
Enfin, ce que je trouve aussi très fin dans cette chanson, cÂ’est la façon dont le garçon est dépeint. Loin de lÂ’image du froid séducteur, du Dom Juan calculateur, Bénabar décrit un jeune homme tout aussi « perdu » que Nathalie. Prisonnier du regard de ses congénères (refusant les manifestations dÂ’affection « en public », réduit à sÂ’inventer des aventures dÂ’un soir pour se donner une contenance). Peu sûr de lui (« dans mes bras, vous faisiez moins les fiers »). On est loin du cliché sur « les garçons qui recherchent quÂ’à avoir plein de conquêtes et les filles qui recherchent que le grand amour ». CÂ’est finement vu.
Voilà , voilà . Je sais pas si cÂ’est clair. Je crois pas. CÂ’est un peu confus et longÂ… DésoléeÂ…
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Et bien quoi qu'il soit 3h48 du mat' je dois dire que ton post n'est pas du tout confus.
Néanmoins, je n'aime pas trop cette façon de décortiquer chansons et poèmes, je trouve que cela "casse" toujours un peu l'oeuvre ... comme à l'école quand on nous faisait compter les pieds des poésies de Baudelaire, non mais comme si il avait que ça à faire de compter des syllabes !!!
Sur certains points je suis d'accord avec toi, sur l'allusion aux femmes tondues par exemple, qui me gêne plus parce que ds la chanson il parle des autres filles, alors qu'à la Libération s'étaient les hommes qui tenaient le rasoir... mais ça ne me dérange pas trop, il veut peut être dire que même adolescent, on peut avoir de la méchanceté d'adulte ...
Mais je crois que B. fais des chansons simples et sans prétention (au sens noble du terme), celle-ci est peut être parfois trop linéaire si l'on y réfléchi mais a-t-on vraiment besoin d'y réfléchir à ce point pour l'apprécier ???
Moi je ne crois pas qu'elle soit aussi compliquée que tu l'as décrit... je crois que c'est une chanson qui est belle par sa simplicité, par sa fluidité ... après tout c'est simple : le lycée, les amis, les ennemis, les premiers amours et puis être soit la copine de la jolie, la copine de l'intello, la copine de celle qui est a la mode etc ... ça veut juste dire (je crois) qu'à cet age là c'est dur de pas trop savoir qui on est et de se chercher ... et de se planter des fois... On a toutes été des Nathalies à un moment ou à un autre, et c'est ça qui est simplement joli ... enfin, c'est mon avis...
un peu long aussi
Néanmoins, je n'aime pas trop cette façon de décortiquer chansons et poèmes, je trouve que cela "casse" toujours un peu l'oeuvre ... comme à l'école quand on nous faisait compter les pieds des poésies de Baudelaire, non mais comme si il avait que ça à faire de compter des syllabes !!!
Sur certains points je suis d'accord avec toi, sur l'allusion aux femmes tondues par exemple, qui me gêne plus parce que ds la chanson il parle des autres filles, alors qu'à la Libération s'étaient les hommes qui tenaient le rasoir... mais ça ne me dérange pas trop, il veut peut être dire que même adolescent, on peut avoir de la méchanceté d'adulte ...
Mais je crois que B. fais des chansons simples et sans prétention (au sens noble du terme), celle-ci est peut être parfois trop linéaire si l'on y réfléchi mais a-t-on vraiment besoin d'y réfléchir à ce point pour l'apprécier ???
Moi je ne crois pas qu'elle soit aussi compliquée que tu l'as décrit... je crois que c'est une chanson qui est belle par sa simplicité, par sa fluidité ... après tout c'est simple : le lycée, les amis, les ennemis, les premiers amours et puis être soit la copine de la jolie, la copine de l'intello, la copine de celle qui est a la mode etc ... ça veut juste dire (je crois) qu'à cet age là c'est dur de pas trop savoir qui on est et de se chercher ... et de se planter des fois... On a toutes été des Nathalies à un moment ou à un autre, et c'est ça qui est simplement joli ... enfin, c'est mon avis...
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- Num
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Eh ben moi j'aime bien quand on décortique pour se rendre compte que, en plus de l'émotion directe qu'on peut ressentir, on voit que c'est très bien construit, qu'il y a un cadrage, comme au cinéma (B revendique souvent cette approche). Et puis c'est être très fluide (et paraître tout simple) et être très construit en même temps.
Evidemment, il y a aussi les innombrables hypothèses sur "pourquoi l'adolescente rentre-t-elle à 5h du matin alors qu'elle avait dit qu'elle passait la nuit chez Stéphanie?" (elle n'a pas de portable (en 1997) Stéphanie a pas pu la prévenir de sa boulette, si c'en était une) alors que B vient de se rendre compte qu'il n'avait pas fait gaffe.
Je suis d'accord aussi que parfois, il vaut mieux garder le mystère ("la boite de 12" par exemple) mais ce n'est pas vraiment du décortiquage, juste une question. Et puis il reste "Les ricochets" (LA chanson à décortiquer...) mais là , c'est plutôt qu'on n'ose pas poser des questions sur un sujet sensible.
Et puis quand une personne de talent décortique L'itinéraire, ça donne ceci
Pour en revenir à "Je suis de celles", au niveau des paroles, je maintiens que la version live (pré album Les risques du métier) qui se terminait par un "faut que j'y aille" dans un souffle était beaucoup plus forte. Une fin entre un "casse toi" et un "je te pardonne mais au revoir, tu représentes une partie de ma vie qui est passée"
Evidemment, il y a aussi les innombrables hypothèses sur "pourquoi l'adolescente rentre-t-elle à 5h du matin alors qu'elle avait dit qu'elle passait la nuit chez Stéphanie?" (elle n'a pas de portable (en 1997) Stéphanie a pas pu la prévenir de sa boulette, si c'en était une) alors que B vient de se rendre compte qu'il n'avait pas fait gaffe.

Je suis d'accord aussi que parfois, il vaut mieux garder le mystère ("la boite de 12" par exemple) mais ce n'est pas vraiment du décortiquage, juste une question. Et puis il reste "Les ricochets" (LA chanson à décortiquer...) mais là , c'est plutôt qu'on n'ose pas poser des questions sur un sujet sensible.
Et puis quand une personne de talent décortique L'itinéraire, ça donne ceci
Pour en revenir à "Je suis de celles", au niveau des paroles, je maintiens que la version live (pré album Les risques du métier) qui se terminait par un "faut que j'y aille" dans un souffle était beaucoup plus forte. Une fin entre un "casse toi" et un "je te pardonne mais au revoir, tu représentes une partie de ma vie qui est passée"
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Non, biensûr que non! Biensûr que c'est une chanson toute simple. En restant dans le domaine de la musique, on peut dire que Bénabar n'a pas l'écriture d'un Bashung. Ces chansons se passent très bien d'explications de textes. Bénabar ne prône pas l'hermétisme.pupsen a écrit :a-t-on vraiment besoin d'y réfléchir à ce point pour l'apprécier ???
Ceci dit, quand certains disent qu'ils n'avaient pas vu le rapport entre "je suis de celles" et la libération, c'est bien qu'il reste parfois des zones d'ombre, non? Au-delà , je trouve qu'il y a deux-trois trucs qui ne sautent pas aux oreilles à la première écoute et qui sont assez finement amenés. Mais, même si mon explication est hyper longue, j'ai fait ça vite fait, sans prétendre en imposer aux docteurs es lettres présents sur le forum!
De toute façon, si j'avais des velléités de prenage de grosse tête, des envies de soutenir une thèse sur Bénabar à la très vénérable Sorbonne, Num a cassé mon rêve :
Sous entendu, "tu trouves ça tout naze d'analyser, pupsen, parce que c'est m_a_r_i_e qui a sorti un truc assez relou, mais va voir quand même d'autres analyses qui, elles, sont bien!"num a écrit :Et puis quand une personne de talent décortique L'itinéraire, ça donne ceci

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Sous entendu, "tu trouves ça tout naze d'analyser, pupsen, parce que c'est m_a_r_i_e qui a sorti un truc assez relou, mais va voir quand même d'autres analyses qui, elles , sont bien!"


Je sais qu'à l'écrit j'ai l'air parfois un peu dure, mais ce n'était pas mon intention ...

C'est quand même mieux qu'on ai des avis différents non ???
Sinon, il n'y aurait rien à écrire ...

Quand aux "ricochets", je ne vois pas pourquoi une analyse s'impose Num, mais bon, comme tu semble ne pas apprécier, je ne mettrai pas de post dessus....
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Je voulais juste donner une autre analyse de fond (que j'avais aussi donné à M_a_r_i_e quand elle nous a dit qu'elle avait un article à écrire), sans dire que c'était "plus mieux" qu'elle.
Euh tu as écouté "Les Ricochets" (va lire le fil en question, c'est pas vraiment le fil pour en parler)?? Parce que même si on comprend le sens général, il reste des points très mystérieux (et douloureux, on suppose). On peut être ému(e) par ce qu'il écrit tout en se disant qu'il y a un sens derrière qu'il masque.
Euh tu as écouté "Les Ricochets" (va lire le fil en question, c'est pas vraiment le fil pour en parler)?? Parce que même si on comprend le sens général, il reste des points très mystérieux (et douloureux, on suppose). On peut être ému(e) par ce qu'il écrit tout en se disant qu'il y a un sens derrière qu'il masque.
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Cette chanson me touche bcp également; et je trouve l'analyse de M_a_r_i_e très intéressante, c'est vrai qu'on analyse pas systematiquement les textes de chansons comme cela (sauf deformation professionelle si on est en train de passer le bac ou si on enseigne le frçais par ex
) mais ça vaut le coup, ce sont des choses qu'on ressent de toutes façons, avant meme de détailler le pourquoi.
sinon, "moi j'tombais amoureuse comme on tombe d'une chaise", j'appelle ça le sens de la formule : tout est dit

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J'en parlais avec certaines personnes (Ragazza entre autres) et elles trouvaient ça un peu faiblard, un peu facile (et je suis plutôt d'accord), enfin bien loin de "celles qui ont l'habitude qu'on les cajole ignorent la solitude que rien ne console"
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je suis pas une fille mais ces deux phrases me touchent particuliérement ..
(je sais, je dis toujours là meme chose à propos de cette chanson)

(je sais, je dis toujours là meme chose à propos de cette chanson)
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Est-ce de ma faute à moi si j’aime le café et l’odeur des ptits chats
me coucher tard la nuit me lever tôt après minuit
aller au resto et boire des diabolos ?
à notre santé !
Urban Trip Paris
Bisou Petite Fleur

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Marie, j'arrive après l'heure de pointe du débat laissant tomber les underscores chers à ton coeur, et te le déclare en place publique et en illégitime déviation sur ce forum linéaire = prends la grosse tête !!M_a_r_i_e a écrit : De toute façon, si j'avais des velléités de prenage de grosse tête, des envies de soutenir une thèse sur Bénabar à la très vénérable Sorbonne, Num a cassé mon rêve :Sous entendu, "tu trouves ça tout naze d'analyser, pupsen, parce que c'est m_a_r_i_e qui a sorti un truc assez relou, mais va voir quand même d'autres analyses qui, elles, sont bien!"num a écrit :Et puis quand une personne de talent décortique L'itinéraire, ça donne ceci
y a que ça de vrai dans la vie... (avec les gnocchis)

(et puisque le lien de Num renvoie à mon commentaire composé, je précise que j'avais énormément de temps libre quand je l'ai rédigé, que j'ai fait ça pour établir le record du post le plus chiant, et parce que ça m'amusait, pour des raisons strictement personnelles

Moi j'étais chaud comme la braise
Elle c'était un glaçon
C'était comme verser du lait-fraise
Dans un verre de Saint Emilion
Elle c'était un glaçon
C'était comme verser du lait-fraise
Dans un verre de Saint Emilion
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- Futur(e) Bénabarge ?
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T'avais aussi énormément de temps libre pour faire cette réponse là ...?

Elaeudanla a écrit :(et puisque le lien de Num renvoie à mon commentaire composé, je précise que j'avais énormément de temps libre quand je l'ai rédigé, que j'ai fait ça pour établir le record du post le plus chiant, et parce que ça m'amusait, pour des raisons strictement personnelles ... il y a donc pas mal de second degré dans la genèse de ce commentaire qui en aucun cas n'ambitionne de faire passer Bénabar à la postérité baudelairienne, et encore moins d'empêcher les autres de choper le melon...)



C'est pas plus mal que si c'était pire !
C'est gentil, mais t'inquiète, mon ego se porte pas mal...Elaeudanla a écrit :ce commentaire qui en aucun cas n'ambitionne de faire passer Bénabar à la postérité baudelairienne, et encore moins d'empêcher les autres de choper le melon...
Qu'est-ce que tu dis Num? Une déviation? Où ça? J'ai pas remarqué. Mais t'aurais raison de t'énerver si c'était le cas. C'est trop pénible les gens qui dévient dans les fils sérieux, où des BénaBarthes prennent la peine de faire une petite vivisection des textes des chansons... Moi, j'étais précisément en train de dire que ma phrase préférée, c'était "j'étais pas la jolie, moi j'étais sa copine". Je trouve la formule très juste. Tout est dit en peu de mots.
-
- Futur(e) Bénabarge ?
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M_a_r_i_e a écrit : Comme je le notais dans le « café », je trouve deux choses bancales dans cette chanson : la référence aux femmes tondues et l’entrée en matière. Comme Num m’y a si gentiment invitée, je développe ici mes brillantes idées ! Faut pas me le dire deux fois… Dès que se présente l’occasion de m’écouter écrire (on écoute bien la frange de Carla Bruni pousser, alors pourquoi pas), je fonce…
Alors, tout d’abord la référence à la libération. Je trouve que l’image est trop forte, disproportionnée, caricaturale. Bénabar est beaucoup plus doué, à mon sens, quand il souligne des choses en mentionnant des détails a priori insignifiants (je développerai ça après. D’abord la critique !). La référence à la tonte des femmes accusées de collaboration, c’est un peu beaucoup tire-larme quand même. Un peu comme les cordes, musicalement. C’est tellement connoté « attention émotion!!!» qu’on flirte toujours avec la caricature. C’est dangereux. Alors, certes, l’image des résistants qui se transforment en bourreaux à la libération rend bien compte du mélange des genres (« y a les bons les méchants » qu’il disait…). De la cruauté qui peut surgir de n’importe où, de n’importe qui. De la banalité du mal. Ok. Mais c’est quand même un peu caricatural je trouve.
L’entrée en matière à présent. Je trouve tout ça très poussif. En moins de huit vers, la protagoniste réussit quand même à nous glisser son prénom (« c’est moi, c’est Nathalie »), le lien qu’elle a eu avec son interlocuteur (« on était ensemble au lycée »), l’évolution de leur relation (« tu me reconnais pas ») et sa situation actuelle (« j’ai changé, j’ai des enfants un mari ») ! C’est quand même hyper rapide, ça sent les grosses ficelles de scénariste ! Ca fait un peu équivalent en chanson des vieux flash back cinématographiques avec l’image qui se trouble petit à petit, pour pouvoir raconter vite fait les épisodes précédents au spectateur. Les vers eux-mêmes sont hachés (rythme binaire très marqué dans "bah quoi/t'as l'air surpris" par exemple, ou bien petit « mais si » isolé comme un cheveu sur la soupe). Les sonorités sont assez dures. Le début coule mal.
Ceci dit, ce début un peu chaotique est peut-être tout à fait calculé par l’auteur. Après tout, ça rend bien compte de la situation. Les retrouvailles forcément génantes des deux personnages. Un garçon sans doute honteux de son comportement d’alors. Une jeune fille partagée entre le souvenir de son mal-être passé et la satisfaction de pouvoir régler ses comptes aujourd’hui. Régler ses comptes en parlant, d’abord. Le match verbal est à sens unique. Le jeune homme, jadis si prompt à tenir « conférence », est devenu bien laconique. Il ne parvient qu’à articuler un « tiens qu’est-ce que tu fais là ? » introductif et le court « mais si » (seul vers de deux pieds de la chanson). Le rapport de force a donc manifestement évolué.
Cette évolution est finement rendue par le jeu des pronoms personnels et des appellations. Par le passé, Nathalie est complètement désindividualisée. Elle est réduite à un type, une catégorie (« j’étais de celles »). Elle n’est que l’accessoire (la copine de la jolie). Le surnom dont elle est affublée n’a rien de personnel. « Machine » rendant aussi bien compte de l’indifférence de ses camarades à son égard, de l’absence de considération, que de la déshumanisation (à la limite) dont elle fait l’objet (« machine » pris littéralement, de la même façon que son « corps » est analysé comme une souris). Mais, aujourd’hui, c’est Nathalie qui prend la parole. Le texte est donc saturé de « je ». Inversement, le jeune homme perd en singularité. Il se dissout dans la deuxième personne du pluriel, est amalgamé aux autres « petits hommes des cavernes » et n’est jamais individualisé par un prénom.
Troisième marque, évidemment, de l’évolution, le point de vue de Nathalie. C’est Nathalie qui raconte la scène. Elle prend la place de l’analyste. Elle est protagoniste aussi bien que commentatrice. Elle n’est plus la « souris qu’on dissèque », elle est le scientifique qui opère. Le garçon est celui qui se trompe (« Que vous pensiez viriles », « Vous apparaissait », « Oubliant »). Les Saintes Nitouches sont celles qui « ignorent ». Nathalie est celle qui sait (« Je savais pourquoi », « Je le sais, je l’affirme »). Adoptant le point de vue de l’observateur, Nathalie raconte d’ailleurs les choses froidement. Sans tomber dans de grands discours accusateurs, elle se borne à raconter les faits. « Vous veniez chez moi / Mais dès le lendemain / Vous refusiez en public / De me tenir la main ». Les faits bruts sont assez accusateurs. Ils suffisent à confondre le jeune homme. Ils suffisent à créer l’émotion. C’est en mentionnant cette main non tenue, ces yeux laissés ouverts pour guetter que Bénabar réussit le mieux, je trouve, à émouvoir. Pas besoin de recourir aux grandes images historiques.
Enfin, ce que je trouve aussi très fin dans cette chanson, c’est la façon dont le garçon est dépeint. Loin de l’image du froid séducteur, du Dom Juan calculateur, Bénabar décrit un jeune homme tout aussi « perdu » que Nathalie. Prisonnier du regard de ses congénères (refusant les manifestations d’affection « en public », réduit à s’inventer des aventures d’un soir pour se donner une contenance). Peu sûr de lui (« dans mes bras, vous faisiez moins les fiers »). On est loin du cliché sur « les garçons qui recherchent qu’à avoir plein de conquêtes et les filles qui recherchent que le grand amour ». C’est finement vu.
Voilà , voilà . Je sais pas si c’est clair. Je crois pas. C’est un peu confus et long… Désolée…
depuis le temps,



voilà qui est réparé...
Moi je kiffe grave les twinuts et les parapluies et alors ?!

- aurely
- Futur(e) Bénabarge ?
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- Enregistré le : 27 nov. 2003 16:43
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je trouve ce texte sensible et bien foutu comme tout...
bien sûr le coup des femmes tondues est excessif par ex mais il ne me choque pas puisque Nathalie est énervée, amère ("perfides petites saintes")...
euh voilà c'est tout
bien sûr le coup des femmes tondues est excessif par ex mais il ne me choque pas puisque Nathalie est énervée, amère ("perfides petites saintes")...
euh voilà c'est tout

Ca shoote dans les colonnes de mon palais vertébral
C'est vertigineux de te voir à l'horizontale
C'est vertigineux de te voir à l'horizontale
génial
c'est un peu grace a cette chanson que j'ai découvert bénabar...
c'est pour moi la+émouvante quee Bénabar a pu faire aujourd'hui.c'est drole mais c'est la 1ere chanson qui arrive a me faire pleurer à chaque fois que je l'écoute !!! meme si jaime ttes ses chansons de la 1ere a la derniere (pr l'instant ) je reste tjrs aussi émue en écoutant "je suis de celles". si j'avais l'occasion (j'en reve ! ) la question que je lui poserai serai de savoir comment il a fait pour écrire une chanson pareil !! elle est telement vraie !a se demander si il n'a pas été une femme ds une autre vie ! (???) je pense que pas mal de femmes se retrouvent dedans (faites le sondages chez vos amies ! ) j'ai surtout hate de l'entendre en concert ou meme tt simplement de pouvoir voir B.,il parait que c'est une bete de scene ! ( j'ai deja mon billet donc tt va bien ! )car je vois que ttes les réactions "aprés-concerts" sont pluto positives (j'en doute pa ! ) ce forum est une chance pour moi car je n'ai que 14ans et on me prend souvent pr une "folle" d'écouter Bénabar !!! ( il parait que c'est pas de mon age !pfffffff nimporte quoi !! ) donc je m'exprime !!! en tout cas un gros bravo a Bénabar pour cette chanson qui me touche énormement !
EDIT par Num orthographe SMS (faites des efforts, svp).
c'est pour moi la+émouvante quee Bénabar a pu faire aujourd'hui.c'est drole mais c'est la 1ere chanson qui arrive a me faire pleurer à chaque fois que je l'écoute !!! meme si jaime ttes ses chansons de la 1ere a la derniere (pr l'instant ) je reste tjrs aussi émue en écoutant "je suis de celles". si j'avais l'occasion (j'en reve ! ) la question que je lui poserai serai de savoir comment il a fait pour écrire une chanson pareil !! elle est telement vraie !a se demander si il n'a pas été une femme ds une autre vie ! (???) je pense que pas mal de femmes se retrouvent dedans (faites le sondages chez vos amies ! ) j'ai surtout hate de l'entendre en concert ou meme tt simplement de pouvoir voir B.,il parait que c'est une bete de scene ! ( j'ai deja mon billet donc tt va bien ! )car je vois que ttes les réactions "aprés-concerts" sont pluto positives (j'en doute pa ! ) ce forum est une chance pour moi car je n'ai que 14ans et on me prend souvent pr une "folle" d'écouter Bénabar !!! ( il parait que c'est pas de mon age !pfffffff nimporte quoi !! ) donc je m'exprime !!! en tout cas un gros bravo a Bénabar pour cette chanson qui me touche énormement !
EDIT par Num orthographe SMS (faites des efforts, svp).