Merci Béa pour les photos et ton reportage rigolo et merci Vinzz d'être venu raconter
Comme Béa et Vinzz, je suis très heureuse de ne pas être passée à côté de l'évennement
J'ai trouvé que l'ambiance était très intime malgré le nombre de musiciens : petit amphithéâtre pas rempli, petite scène si on veut bien appeler un plancher une scène, pas de loges, pas de coulisses, un décor minimaliste et les frissons perceptibles chez les artistes ou nos voisins de gradin à cause du froid. C'était beau, élégant : l'étang (ou lac) derrière les artistes, les lumières dirigées sur les arbres de l'autre rive et sur les ventres des oiseaux en vol.
Sourires, rires inévitables dans "La Vipère du Gabon" quand vint le tour de "Putain, j'ai horreur des vautours"

J'aurais voulu voir la tête du directeur du Parc des Oiseaux !
Adaptation des conditions pour faire chanter le public sur "Les Filles de 1973..." : ceux qui ont visité le Parc avant de venir au concert, ceux qui ont dit on s'en fiche du Parc on est là pour le concert, ceux qui ont enregistré France/Roumanie (mon voisin a chanté tout seul

)
Voilà
Un dernier moment magique : se diriger vers la sortie du Parc dans la nuit noire. Allées vidées, Boutiques fermées, visiteurs de la journée envolés, petit train touristique verrouillé : on est seuls. Enfin presque. Restent les cris des oiseaux nocturnes pour nous accompagner.
Les certitudes sont de pâte molle, elles se modèlent à volonté. (Du Domaine des Murmures)