
En tout cas y en a qui sont pas aphones dans la salle (même sans micro elles chantent euh.... gueulent plus fort que lui)

Modérateur : Modérateurs
[mode "mouliche non aphone" = ON]laurence* a écrit :En tout cas y en a qui sont pas aphones dans la salle (même sans micro elles chantent euh.... gueulent plus fort que lui)
...c'est l'experte qui parle, hein ?!?laurence* a écrit :Ah parce que tu sais te mettre en mode mouliche toi?
A cette époque, j'étais sur le point de prendre ma place pour le Transbo. Et depuis j'hésitais. Et puis il y'a eu le festival Voix de Fête à Genève. Et puis j'avais peur d'être déçue et je voulais garder les souvenirs des deux concerts précédents. Et puis les semaines ont passés. Et puis il y a quelques jours, je me suis rappelé que ça approchait. Et puis voilà, on y est. Jour J et pourtant je ne l'ai même pas attendu celui-là. Mais il a quand même finit par arrivé. Avec lui tout un tas d'interrogations, de remise en question, de doute, de "mais si j'y allais quand même".il y'a 4 mois, j'avais écrit dans un autre fils a écrit :Pour ceux qui ne seraient pas encore au courant et qui auraient déjà pris leur billet :
Le concert de Renan Luce au Transbordeur, le 27 mars 2008 à 20h00 est annulé et reporté au 21 mai 2008 à 20h00 à la Halle Tony Garnier :ouch:
J'attends vos impressions
Zouzou, t'as un truc à nous confier?Télérama a écrit :Renan Luce : Bonjour !
Emilie de Toulon : Bonjour Renan, je trouve formidable que tu prennes le temps de nous donner du temps, de nous donner un peu de toi.... J'aurais voulu savoir si, avec ce succès grandissant, tu donneras toujours autant d'importance aux petites salles de spectacles, ou comptes tu te produire désormais dans des salles plus grandes? Comment rester authentique et simple avec tant de succès ?
Renan Luce : Ma chère amie, pour répondre à ta question, j'ai justement envie pour la prochaine tournée de ne pas faire que des grandes salles, mais d'alterner entre grandes et petites salles. J'ai même pour projet de faire notre prochaine tournée en chapiteau. Je sais que l'industrie musicale impose parfois des contraintes, mais je pense qu'on me laissera la liberté de faire comme je le souhaite. J'ai la grande chance d'avoir un producteur qui est sur la même longueur d'ondes que moi. On a envie de prendre du temps, d'avoir des sensations différentes.
Mélinda : As-tu déja des idées pour le prochain album ou préfères-tu te reposer avant ?
Renan Luce : J'ai effectivement besoin de me reposer. J'ai quelques chansons finies, des bouts de textes et de musiques qui traînent. Mais je ne pense pas encore vraiment au prochain disque, je m'y mettrai plus tard. Pour l'instant, il faut que je fasse une pause. Je prends donc des vacances à partir de la semaine prochaine. Je sais que dans le métier, beaucoup s'étonnent que je ne chante pas dans les festivals cet été, mais c'est un choix. J'ai besoin de profiter de mes proches, de me remettre à écrire... Même si j'ai parfois des petits regrets, la tournée se passe tellement bien ! Mais on reprendra tout ça avec le prochain disque. Je ne sais pas encore quand il sortira... au printemps prochain ou en septembre 2009.
Kabal : Vous vous êtes fait beaucoup connaître grâce aux premières parties sur lesquelles vous ont invité des chanteurs connus. Rendez-vous la pareille aux débutants aujourd'hui ? Quels autres moyens les jeunes artistes ont-ils pour se faire entendre ? L'internet est-il un support important ?
Renan Luce : Je trouve qu'Internet est en effet un support très important. Quand j'écrivais mes premières chansons, sans maison de disques, je me servais beaucoup du net pour les faire connaître. Je mettais toutes mes chansons en ligne sur mon site perso. Quant aux premières parties, j'y tiens bien sûr ! Je ne programme pas que des débutants. Par exemple, c'est Alexis HK, qui chante depuis déjà un bon moment, qui a assuré beaucoup de premières parties sur cette tournée... C'est quelqu'un que j'apprécie beaucoup, c'était naturel pour moi de l'inviter. Pour les autres, davantage débutants, il y a eu Claire de Namur, Bensé, Benoît Dorémus qui ont fait des premières parties. C'est vraiment important. Je me souviens que cela m'a beaucoup apporté. En termes de public, ça fait beaucoup d'oreilles. Et d'une façon générale, ça permet d'apprendre beaucoup ! Je pense avoir fait au moins une quinzaine de premières parties avec Benabar. Il m'a donné mon premier gros coup de pouce.
Fanette : Tu n'en a pas marre de jouer encore les mêmes morceaux trois ans au moins après les avoir écrits ?
Renan Luce : Non, pas du tout. Sur toute la tournée, on a beaucoup retravaillé les morceaux, cherché de nouveaux arrangements. Et puis il y a ce vieil adage qui dit que chaque soir est différent du précédant. C'est vrai. Je ne m'ennuie jamais. C'est tous les soirs un nouveau contact avec les gens.
Cathy : J'ai remarqué que tu fais souvent des duos sur tes spectacles. Pourquoi ? Parce que tu te sens seul ? Pour créer des liens artistiques ? Pour rompre justement la monotonie et respirer un peu ?
Renan Luce : Pas vraiment. C'est d'abord par plaisir de se mettre un peu en danger, et surtout pour répondre au besoin de rencontres. J'aime bien faire des duos quand ça se justifie par une rencontre amicale avec un autre artiste. Le duo est un peu plus théâtral, c'est sympa d'avoir quelqu'un avec toi.
Anaëlle : Comment réagir face un succès soudain, sortir de l'anonymat, recevoir autant d'amitié et d'amour de gens que nous ne connaissons pas ? Cela n'est-il pas troublant et dérourant ?
Renan Luce : C'est forcément un peu troublant. Tout ce qui sort de la simple réaction aux chansons est un peu déroutant. Je ne sais jamais comment réagir. Mais j'ai la chance d'avoir un public qui me témoigne de l'amitié, de la pure gentillesse, donc je le vis bien.
Bontempi : L'autre jour, j'étais dans un grand supermarché et on diffusait ton single. Ca fait quoi d'avoir sa musique qui passe dans les supermarchés ?
Renan Luce : Dans les supermarchés, rien du tout. Je suis le premier surpris de voir que mes chansons passent sur de grandes radios. Je suis ravi de voir que même avec la chanson française, on peut être joué beaucoup. Cela me rassure pour la suite, j'en suis très heureux.
Sophie : Le succès vous donne-t-il de la liberté ou vous impose-t-il des contraintes nouvelles ?
Renan Luce : Plutôt de la liberté, car j'ai maintenant la chance de travailler comme je le veux. En prenant mon temps. Je suis heureux d'avoir déjà réussi à écrire treize bonnes chansons... Bien sûr, j'ai un peu plus de pression pour le nouveau disque, mais c'est celle que je me mets moi-même. Je voudrais me renouveler sans me renier, arriver à avancer sans me répéter. Mais encore une fois, la petite pression que je peux ressentir, elle vient de moi, pas des autres.
Pascale : J'aime beaucoup Brassens, et je trouve beaucoup de points communs entre vous deux. Pouvez vous me dire si ce poète vous inspire ? Alors que beaucoup de chanteurs refusent l'héritage de la chanson à textes, le revendiquez-vous ?
Renan Luce : Bien sûr que je le revendique ! Ce serait ridicule de dire que je ne fais pas de la chanson. Je raconte une histoire sur une mélodie en général assez simple. C'est la tradition de la chanson, il n'y aucune raison que je la refuse. Que Camille, par exemple, dise qu'elle ne fait pas de chanson, c'est normal, elle n'en fait pas... Mais moi si. C'est ce qui m'a bercé et m'a donné envie de chanter. Concernant mon inspiration, j'ai du mal à savoir ce qui concrètement m'inspire. Effectivement, l'écriture de Brassens m'a accompagné quand j'étais petit. J'y retrouve tout ce que j'aime dans la langue française.
Anaita : Renan Luce, veux-tu m'épouser ? Quand j'te vois chanter j'ai envie d'etre ton micro !
Renan Luce : Chère amie, dans mes chansons, je raconte beaucoup d'histoires ; j'en invente aussi. Donc peut-être demain m'inventerai-je une destinée avec toi.
Roger Pierre : Ne souffrez-vous pas de votre image de chanteur à minettes ?
Renan Luce : Je ne me rends pas compte de cette image. Sur scène, à part les trois-quatre premiers rangs constitués d'un public très féminin, le reste de mon public est assez large : enfants, parents, jeunes gens ou spectateurs plus âgés... Je ne pense pas être exclusivement un "chanteur à minettes". J'invente des histoires pour moi en premier, pour tout le monde ensuite. Il n'y a aucune raison pour que seules les filles se sentent concernées !
Zouzou : J'aurais bien tchaté en direct avec toi mais je suis en cours à cette heure-ci... Je voulais quand même te demander ce que tu pensais des mouettes criant "Renan je t'aiiiiiiiiiiiime!" au moindre interlude et jetant sous soutien gorge sur scène). Ca te fait marrer, ça t'agace ?
Renan Luce : Je crois que ça m'amuse. Et que ça les amuse aussi. Ceci dit, je peux comprendre que ce soit agaçant pour le reste du public... Mais je suis reconnaissant à celles et ceux qui participent dans les concerts. Je ne demande pas au public de crier... donc j'apprécie quand il le fait de lui-même ! C'est vivant, et ça permet de rebondir. J'aime bien.
Bontempi : Cette mode des chansons à texte qui dépeignent notre quotidien, ne pensez vous pas qu'elle vienne du fait qu'en France, nous n'avons plus de grands compositeurs mais surtout de bons auteurs ?
Renan Luce : C'est vrai qu'en France, on a tendance à porter attention au texte. Mais pour moi, quand une composition est réussie, c''est que la mélodie est efficace. Et je trouve qu'il y en a beaucoup qui y parviennent.
Mustardseed : Ecrivez vous dans des circonstances particulières?
Renan Luce : J'ai besoin d'avoir une bonne idée, et malheureusement, ça ne se commande pas. C'est pour cela que j'ai toujours un petit carnet sur moi pour noter. Il me faut un début d'histoire, un thème à aborder. Par contre, quand je veux finaliser une chanson, j'ai besoin de calme et de temps devant moi. J'ai besoin de travailler beaucoup mes chansons, et je ne suis pas très prolixe. Tous les textes que j'écris, je m'en sers. Je ne suis pas du genre à avoir 300 textes en réserve dans mes tiroirs... Je le regrette !
Laurianne : Est-ce vrai que vous vous êtes inspiré du roman de Tonino Benaquista "Malavita" pour votre chanson "Repenti" ? Si oui, quel lecteur êtes-vous ?
Renan Luce : C'est tout à fait vrai. Cela fait partie de mes sources d'inspiration, comme tous les films sur la mafia. D'ailleurs la suite vient d' de sortir, ça s'appelle "Malavita, encore". D'une façon générale, je lis beaucoup, tous les jours. J'ai toujours un livre avec moi. J'aime qu'on me raconte des histoires, me laisser embarquer dans les aventures de quelqu'un. J'aime les romans de pure fiction, c'est du domaine du voyage.
Amélie : Justement, vos chansons racontent des histoires mais vous êtes rarement dans l'introspection ou la confidence (à part peut-être "Mes racines" dans laquelle vous vous livrez). Est-ce par pudeur ou par coquetterie ?
Renan Luce : Ni l'un ni l'autre. Si j'écris plus sur moi, ce sera par le biais d'une histoire. Si j'invente des personnages, c'est parce que je trouve que c'est plus efficace pour y faire entrer les sentiments que je veux exprimer.
Le voisin : Vous n'avez jamais craqué pour un voisin ?
Renan Luce : Eh bien pour l'instant, jamais ! Par contre, je suis très attaché à tout ce qui a rapport avec l'amitié. Donc d'une certaine manière, j'ai craqué pour plein de voisins, mais amicalement, bien sûr.
Michel : Je viens d'entendre un inédit sur le site de Télérama, "Aux timides anonymes". Es-tu vraiment timide ? (si oui, tu n'es plus anonyme...)
Renan Luce : Je suis timide à ma manière. Je ne suis pas quelqu'un qui veut s'imposer tout de suite. Je suis un faux timide. Par contre, c'est un caractère que j'aime bien chez les gens... Quant à la scène, ce n'est pas une catharsis. Monter sur scène, j'attends même ça avec impatience i Il y a toujours le trac par rapport au public, aux imprévus, mais monter sur scène, c'est entrer dans un peu un état second, un peu séparé de la vie. J'y suis à la fois moi-même et quelqu'un d'autre. Je me rappelle que lorsque j'ai fait l'Olympia, en décembre dernier, j'ai eu le trac. Tout y était particulier : la salle était mythique et toute ma famille était là. Pour les rendez-vous qu'on a beaucoup bossés, on peut avoir un petit moment de panique. Mais ça passe !
Little demon : Tu es "repenti" de quoi ?
Renan Luce : J'ai choisi ce titre surtout comme clin d'oeil pour les histoires que j'invente et que je fais passer pour les miennes. Après, effectivement, j'ai mes petits secrets et regrets personnels. Que je garde pour moi.
Delphine : Tous vos fans connaissent le nom de votre fiancée (Lolita, la fille de Renaud) et des journaux people ont même commencé à en parler. La curiosité médiatique vous gêne-t-elle ? Qu'êtes vous prêt à accepter dans le dévoilement de votre vie privée ?
Renan Luce : Je ne me suis jamais trop caché, mais je n'en ai jamais trop parlé. J'ai plutôt envie de préserver cela et de ne pas laisser de place dans les médias pour en parler, si ce n'est pas à mon initiative. Je ne sais pas trop comment ça va se passer. Je ne suis pas du genre à me montrer dans les endroits où les magazines people se fournissent. Je suis plutôt "soirée chez des amis". Quand je sors, c'est avec des amis, pas pour me montrer.
Bertrand : Vous avez une cheminée pour y poser vos deux Victoires de la Musique ?
Renan Luce : Je n'ai pas de cheminée, et j'ai offert une Victoire à mon manager. L'autre trône, discrètement, dans un coin de mon appartement.
Mélinda : Comment appréhendes-tu les concerts au Zénith?
Renan Luce : Je n'appréhende pas trop. C'est dans la continuité de ma tournée. Je vais essayer de considérer le Zenith comme des dates comme les autres. On parlait du trac à l'Olympia, je veux maintenant considérer toutes les dates de la même manière. Ce n'est pas parce que c'est Paris que c'est différent.
Nico : Nous prépares tu des surprises pour ces deux Zénith ? Je sais que tu aimes les duos... On peut lancer les paris sur le nom des invités ?
Renan Luce : Vous pouvez lancer des paris, mais je ne donnerai pas d'indice. Il y aura des duos différents entre samedi et dimanche, à part une personne ou deux qui vont revenir sur les deux dates... Allez, si quelqu'un devine la liste intégrale de tous les invités, je l'invite en backstage après le concert !
Télérama : Renan, tu t'apprêtes à chanter ce soir à Bordeaux... Comment te sens tu avant de monter sur scène ? Et que voudrais-tu dire à nos internautes-intervieweurs avant de les quitter ?
Renan Luce : Quatre heures avant mon concert, je me sens très bien, à part les courbatures... parce qu'hier, on avait une journée off et on en a profité pour jouer au foot ! A part ça, j'ai une petite pointe de nostalgie parce que la tournée va se terminer. En tout cas aujourd'hui, j'ai été ravi de répondre à toutes vos questions. J'espère y avoir répondu le mieux possible.
Merci beaucoup !
vi, j'ai pensé exactement la même chose en la voyantEphéméride a écrit :sur la dernière photo, on dirait que B. va galocher Renan![]()
Il a changé tout cours Bruno !!! Une vrai carrure d'athlète maintenant !!!!Lena a écrit : Il a changé de coiffure Bruno ??
C'est grâce au coach sportifLyla a écrit :Une vrai carrure d'athlète maintenant !!!!Lena a écrit : Il a changé de coiffure Bruno ??![]()
C'est ce qu'on a cru comprendre oui !!!annenenette a écrit :C'est grâce au coach sportifLyla a écrit :Une vrai carrure d'athlète maintenant !!!!Lena a écrit : Il a changé de coiffure Bruno ??![]()
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euh non... là tu es sur un forumsalpiglossis a écrit :mais là je suis sur mon blog
Question subsidiaire : on est à combien de rééditions là ?le blog a écrit :Premier album en édition limitée
Il a arrêté de compter ...Stéfanie a écrit :Question subsidiaire : on est à combien de rééditions là ?le blog a écrit :Premier album en édition limitée![]()
Renan Luce ? Il chante encore sur scène ?klem ogre de benabarback a écrit :je vais enfin pouvoir le découvrir sur scène ce dimanche grâce à une personne adorable![]()
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ça va me changer les idées
J'ai hâte de le voir déguisé en boxeur ou en arlequin, comme pour le bizutage de Bruno !!klem ogre de benabarback a écrit :il fera pour la première fois partie des Enfoirés en 2009