chanson pour les autres
Posté : 03 déc. 2005 12:23
"la lettre", si vous ne le saviez pas, c'est le titre d'une chanson que bénabar à composé pour le prmier album de gérard darmon intitulée " au milieu de la nuit"
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chanson pour les autres
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Posté : 03 déc. 2005 12:35
(je me tate pour savoir si ce sous forum est uniquement pour les chansons interprétées par Bénabar et hors album..., bof j'en sais rien en fait, après tout pourquoi pas?)
Posté : 03 déc. 2005 12:45
je suis super etonnee d'apprendre qu'il compose pour d'autres!! alors oui on garde on garde!!
Posté : 30 oct. 2007 2:11
Ben, ça serait con de virer, parce que franchement, je suis tombée sur le cd de Darmon à la médiathèque, et hop, ça a fait tilt "j'ai pas lu qu'il avait fait une chanson pour le carioquiste?", donc, j'emprunte...
Bon, Darmon qui fait du Lantoine, genre chanson pas chantée (mais c'est vrai que ça voix, quand même...), oui, enfin, voilà quoi...
Mais ces paroles, du grand Bénabar, d'ailleurs, il parait que c'est la meilleure du cd...
"03. Ta Lettre
Darmon défend un bien beau texte de Bénabar, sur une musique « à‰lectro Jazz » finement ciselée (à la composition de laquelle il a participé), avec des arrangements de cordes et haubois du meilleur effet ; Darmon alterne savamment chant « véritable » et voix presque parlée, parfois preque « rappée » (non, pas râpée, « rappée », nuance). Un très beau titre, dans lequel les toutes petites (et rares) imperfections vocales de lÂ’interprète, loin de choquer, accentuent sa présence, son investissement. Sans doute lÂ’un des meilleurs passages de lÂ’album. "
Bref, les paroles sont géantissimes, une amertume, une ironie, du Bénabar et du grand...
Bon, Darmon qui fait du Lantoine, genre chanson pas chantée (mais c'est vrai que ça voix, quand même...), oui, enfin, voilà quoi...
Mais ces paroles, du grand Bénabar, d'ailleurs, il parait que c'est la meilleure du cd...
"03. Ta Lettre
Darmon défend un bien beau texte de Bénabar, sur une musique « à‰lectro Jazz » finement ciselée (à la composition de laquelle il a participé), avec des arrangements de cordes et haubois du meilleur effet ; Darmon alterne savamment chant « véritable » et voix presque parlée, parfois preque « rappée » (non, pas râpée, « rappée », nuance). Un très beau titre, dans lequel les toutes petites (et rares) imperfections vocales de lÂ’interprète, loin de choquer, accentuent sa présence, son investissement. Sans doute lÂ’un des meilleurs passages de lÂ’album. "
Bref, les paroles sont géantissimes, une amertume, une ironie, du Bénabar et du grand...