Ataraximmorale

Vous avez ou êtes sur le point de créer un site en rapport avec Bénabar ou avec la "nouvelle chanson française" ?
Vous avez besoin d'infos ou de conseils ?
C'est ici que ca se passe...

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Ragel
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Enregistré le : 26 oct. 2005 2:00

Ataraximmorale

Message par Ragel »

Bonjour à  vous, les Bénabarges; Je me nomme Ragel, j'ai vingt ans et suis étudiant. Je suis fan de Bénabar depuis maintenant quelques années. Il se trouve qu'en meme temps que j'étudie, je suis écrivain, avec deus projets, dont un que j'essaie de partager avecl e plus de gens possibles. Il consiste à  reprendre de jolies chansons françaises de tous horizons (De bénabar à  boris vian en passant par les wriggles et jean jacques Goldman) et de refaire les paroles qui raconrent l'histoire d'un homme amoureux d'une fille et qui voudrait qu'elle revienne. si vous êtes d'accord pour voir un ou deux extraits, j'en mets un, voir siv ous appréciez, et si je peux ainsi continuer à  poster. D'avance, merci.

Ceci est une reprise de "Je suis de celles" du protagoniste en l'honneur de qui ce forum est né lol

Tiens, qu'est-ce que tu fais là  ?
Est-ce bien toi, ma chérie ?
Quoi tu mÂ’reconnais pas ?
Mais si

On était ensembles au lycée
CÂ’est vrai, jÂ’ai changé
Il faut dire quÂ’il est loin
Le temps des câlins.

JÂ’pensais quÂ’nos destinées
NÂ’étaient plus du tout liées
JÂ’étais perdu
Ne pouvant plus tÂ’aimer

Bien quÂ’tu aies été dÂ’celles
Qui mÂ’ont prises pour un con
Les manipulatrices
Qui vous lâchent pour un non

Tu étais très jolie
Tu étais ma copine
Petite brune, petite teigne
Mais des fois, si câline

Moi j'avais un an de plus
Il était pas de trop
Je tÂ’aimais de passion
Peut être que cÂ’était trop

En ce temps on a eu
Plus ou moins, des conquêtes
Mais malgré ça, mes vues
Sur toi gâchaient ma fête

AujourdÂ’hui, jÂ’mÂ’aperçois
Tu fus la première fois
De celles qui comptent
Que je nÂ’eus pas

Tu nÂ’étais pas de celles
Que lÂ’on aime dÂ’amour
TÂ’étais plutôt de celles
Sans cÂœur, au mental fort

On se voyait des fois
Mais dès le lendemain
Tu ne tÂ’en souvenais pas
Et prenais lÂ’air hautain

Quand on se câlinait
A l'abri des regards
Je sais maintenant pourquoi
Pour pas qu'on puisse nous voir

Alors je fermais les yeux
A m'en fendre les paupières
Pendant que pour guetter
Tu les gardais ouverts

Je me répétais :
" faut pas que je m'attache "
Quand toi tu pensais :
" JÂ’le guide à  la cravache"

Mais une fois dans mes bras
Le cÂœur dénudé
Tu étais bien, je crois
Et le temps sÂ’arrêtait

Enlacée contre moi
Ma main dans tes cheveux
Je lÂ’espère, je le crois
Tu mÂ’aimais un peu

TÂ’étais pas amoureuse
CÂ’est juste que ça te plaisait
Quand moi con dÂ’amoureux
Tout à  toi, je mÂ’offrais

Gonflé par tes refus
Toi par mes airs de larve
JÂ’étais le plus déçu
Toi tu me trouvais brave

Tu nourrissais
Mon amour passionnel
En même temps te disais
Sornettes et balivernes

D'avoir pour moi
Un seul mot de tendresse
tÂ’apparaissait
Comme la pire des faiblesses

Toi la fière à  bras
Tu te croyais experte
Oubliant qu'dans mes bras
Tu faisais moins la fière

Mes amis ma famille
Extérieurs à  tout ça
Ne savaient pas pourquoi
JÂ’aimais tant cette fille

Ils disaient « oublie la »
Et avaient bien raison
Je ne les entendais pas
Aveuglé par la passion

Si tu veux viens chez moi
Boire un verre en copain
Peut être que tu voudras
Bien me tenir la main.
Serrés à  six, dans une petite voiture, j'échangerais pas ma place, même si on va dans le mur
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