Forum Bénabar

marionnette a écrit :Forcément si seulement j'avais pensé à  mettre mes parents sur le coup... Peut-être c'est une édition limitée aux + de 25 ans...
Bref, t.a.n.t. p.i.s.

marionnette a écrit :

klem ogre de benabarback a écrit :l'édition limité est en digipack, l'édition normale en boitier cristal...

mais je trouve ça un peu débile de vendre les deux à  la fois (et pas au même prix )

Margot a écrit :Comme un arracheur de dents

klem ogre de benabarback a écrit :l'édition limité est en digipack, l'édition normale en boitier cristal...

mais je trouve ça un peu débile de vendre les deux à  la fois (et pas au même prix )

marionnette a écrit :J'en parle pas car JE L'AI PAS !!
J'ai été une des premières à  l'acheter à  la F**C de Montpel, toute fière et boom j'apprends après (donc trop tard ) qu'il y avait aussi un dvd bonus... Mais Où ?!
Franchement j'ai pas tout compris vu que celui que j'ai acheté était le cd super mis en valeur tout devant à  l'entrée, et y avait pas de choix...

Libération, le 21 novembre 2005 a écrit :Mercredi dernier, Bruxelles. Cali devise, au tiers de son spectacle. L'assistance du Botanique boit ses paroles, rit de concert, quand un type se met à  hurler «Ta gueule», avant de poursuivre véhémentement dans le même registre. Un videur éconduit en douceur le trublion, qui échoue au bar mitoyen. Deux heures plus tard, le chanteur retrouve l'olibrius pour une troisième mi-temps réglementaire. «A vrai dire, sur scène je n'ai pas reconnu sa voix, dit Cali le lendemain. Mais sur le coup, ça m'a fait marrer, j'aime bien quand ça devient le bordel. J'ai quand même répondu "si t'aimes pas, tu viens pas", pour citer Léo Ferré.» De son côté, Miossec plaide coupable... avec ce sourire frondeur du gamin ravi de l'incartade : «A Paris, j'aurais peut-être résisté. Mais là , je l'ai quand même un peu cherché... Avec Cali, on n'est jamais déçu.» Dès ses débuts, en 1993, le plus jeune ne ratait pas une occasion de glorifier l'aîné, qui l'a vite flairé. Sensualité virile, pudeur bravache, lucidité à  fleur d'épiderme, le Catalan et le Breton ne pouvaient pas ne pas s'entendre.

Cali a chanté trois soirs en Belgique. Le premier, Miossec, autochtone expatrié, a donc mis l'ambiance. Le deuxième, il s'est «autocensuré», préférant remettre au lendemain le duo qu'il avait prévu avec son pote. Mais Dominique A (autre néo-Bruxellois), lui, était présent jeudi, dans l'assistance, puis backstage, pour discuter de tout et de rien.

Du panache. Cali n'aime pas tout le monde (Sarkozy, certains juges, une diatribe contre Johnny...). Mais difficile de croiser quelqu'un qui n'aime pas Cali, success story du terroir à  visage humain. Histoire vertueuse d'un garçon de Perpignan qui plaque ses rêves de rugbyman («A l'ouverture, ou ailleurs, de 6 à  23 ans, bon niveau, proche de Marc Lièvremont, jusqu'au jour où je n'ai plus pu fournir les sacrifices physiques nécessaires»), vivote de la musique dans des orchestres villageois et, à  36 ans, devient sans préavis ténor de la Ligue 1 au sein d'une nouvelle élite à  la fois popu et sagace (M, Delerm, Benabar...). Avec 450 000 disques vendus, les textes cinglants de l'Amour parfait forment le socle stable de concerts où Cali le magnifique arbore un panache tel que toutes les salles du pays chavirent.

Pas redescendu de son nuage - ­ sa rusticité a encore du mal à  intégrer le luxe de certains hôtels qu'on lui réserve désormais ­, Bruno Caliciuri, petit-fils de brigadiste italien, fils de directrice d'école et d'architecte pas épargné par la cruauté du destin, a vite passé la deuxième couche. Commercialisé début octobre, Menteur est déjà  son nouveau bâton de pèlerin. «Je ne peux pas m'empêcher de trouver bizarre qu'un disque sorte sans être ponctué par des concerts», dit le chanteur entre deux bouchées de steak et signatures affables d'autographes. Quelques minutes après, il part s'isoler, cherchant dans sa loge cette même force intérieure que le sportif d'antan quêtait dans le vestiaire. «On a toujours peur, ceux qui disent le contraire sont des menteurs. Je me recroqueville, la tête entre les jambes. Puis je me chante la première chanson et je parle beaucoup avec les musiciens.» Où l'on vérifie l'esprit collectif du capitaine, qui a vu sereinement grossir l'effectif, de quatre personnes sur les routes, au début, à  dix-sept aujourd'hui.

Violence et jovialité. Poli en résidence à  la Cartonnerie de Reims, le spectacle naissant embrasse les deux disques. Très toniques, l'entame et l'épilogue sont les reflets les plus âpres d'une écriture qui joue des paroxysmes pour balancer les pires infamies avec entrain : syllabes découpées comme pour surligner le tranchant des mots, Je te souhaite à  mon pire ennemi, chronique du désamour d'une violence incommensurable («Je suis le veuf d'une traînée/Qui n'est pas encore morte») ouvre le bal. Tandis que le non moins acharné Vrai Père ressasse un Mon fils ma bataille autobiographique, qui bascule dans la fiction pathogène ­ un père qui se découpe en morceaux et envoie le puzzle au fils qu'il n'a plus le droit de voir.

Quiconque n'a jamais fréquenté un concert de Cali doit pourtant savoir que c'est la bonne humeur qui prévaut. Guitare, violon, piano, accordéon, batterie et contrebasse tissent des ambiances qui incitent le public à  entonner des «la la la» dont la jovialité paradoxale («Tes lèvres sont le marbre/de la tombe de notre amour») culmine dans le Elle m'a dit du dernier rappel.

Enfin, essoré, Cali refait le match, avec ses musiciens, des amis, des rencontres de passage. «Quoi qu'il arrive, on célèbre ça. On a fait un truc ensemble, il s'est passé quelque chose, alors faut qu'on en parle. J'ai bien essayé une fois de rentrer directement à  l'hôtel, après un concert. A 6 heures du matin, je ne dormais toujours pas.»

Europe 2 TV a écrit :
Le nouveau rendez-vous live d' Europe 2 TV ! Découvre en exclusivité le concert inédit de Cali capté en septembre dernier dans la petite salle parisienne du Trabendo, devant un parterre de 300 spectateurs qui n'en croient pas leur yeux (et leurs oreilles) ! Cali nous fait découvrir en toute intimité les titres de son nouvel album MenteurÂ…

Alain D. a écrit :Et quand on a pas la TNT, on vient manger chez vous???

héléno a écrit :
J'vais pas hésiter à  aller le revoir, c'est certain ! En espérant que polar ne fera pas la première partie, parce-que sincèrement j'me demande comment il a fait pour arriver là .. et pourtant j'aime pas critiquer les artistes parce-que je serais incapable de faire autant qu'eux, mais là .. et aphykite, je crois que c'est "apparaît... disparaît" qu'il essayait de nous faire chanter.. ridicule ! J'essayais de comprendre le sens de ses paroles mais j'ai fini par me dire que finalement y'en avait pas de sens.. "il n'y avait rien à  manger, j'ai pourtant lavé les plats".. oui bah lave mon garçon, lave..

mariet a écrit :- une fille du public invitée à  chanter sur pauvre garçon (sardine ?)

Charly's a écrit :

mariet a écrit :- une fille du public invitée à  chanter sur pauvre garçon (sardine ?)

La Sardine vous a pas dis mais....

bah si !!!

Elle l'a dit et même l' a écrit :
feeling so good , viendez voir les photos sur le blog !