Marianne Farouch' Orchestra
Posté : 03 oct. 2004 19:38
Ah tiens, personne n'a encore rien dit sur ce groupe mené par Marianne Feder, la voix du joli duo final sur l'album d'Alexis HK - et qui n'a donc pas qu'un larynx!
Des mélodies que l'on aime tant fredonner autour de sa voix claire, chaude et mélancolique, ses textes, ces mots égrenés comme autant de petits moments, son regard sur les femmes et les hommes, un amour des êtres parsemé d'humour et de nostalgie, voilà les ingrédients intimes de ses chansons subtiles, douces et piquantes à la fois, à son image.
De ballades en swings virevoltants, toujours entraînante, Marianne promène sa voix dans une musique souvent ancrée à l'Est, ambiances Manouches ou Yiddish mâtinées de jazz, au charme pétillant et délicat.
En écoute par ici
En concert par là :
Dimanche 17 octobre 2004 à 21h00: Théâtre du Soleil La Cartoucherie
Vendredi 29 octobre 2004 à 20h30: dans le cadre du Festival LA RUEE VERS LÂ’EST
Les Voûtes – Paris 13ème
Des mélodies que l'on aime tant fredonner autour de sa voix claire, chaude et mélancolique, ses textes, ces mots égrenés comme autant de petits moments, son regard sur les femmes et les hommes, un amour des êtres parsemé d'humour et de nostalgie, voilà les ingrédients intimes de ses chansons subtiles, douces et piquantes à la fois, à son image.
De ballades en swings virevoltants, toujours entraînante, Marianne promène sa voix dans une musique souvent ancrée à l'Est, ambiances Manouches ou Yiddish mâtinées de jazz, au charme pétillant et délicat.
En écoute par ici
En concert par là :
Dimanche 17 octobre 2004 à 21h00: Théâtre du Soleil La Cartoucherie
Vendredi 29 octobre 2004 à 20h30: dans le cadre du Festival LA RUEE VERS LÂ’EST
Les Voûtes – Paris 13ème
- Je suis cette oreille qui t'écoute parler
Et qui rêve en secret de remuer les lèvres
Je suis celle qui suit sans savoir ce qu'elle est
Je suis cet ouragan qui te donne la fièvre
Je te veux comme roi, je me crois souveraine
Mais je suis l'ouvrière prisonnière de ton miel
Je te veux sous ma langue, dans le fer de mes chaines
Mais je suis une Indienne perdue dans ton gratte ciel
Si nous étions à deux à refaire le monde
Nous pourrions nous aimer sans vouloir nous confondre
Si je pouvais etre toi seulement une seconde
J'oublierais que je suis le nombril du monde