Posté : 03 sept. 2007 7:49

bon je commence en vous informant qu'aujourd'hui, c'est mon dernier
jour de congés

Donc je suis pas super, super


voili, voilo
(oui je sais, on s'en fout et comme je vous comprend

Y'a Benabar dans mon forum !
https://benabar.pifpaf.ch/benabar/
sympa merciEdelweiss a écrit :Bon dernier jour de vacances alors.
Et bon courage pour la reprise demain
Ben non je n'étais pas au courantmartingale a écrit :immense jeu de rôle dans les rues de Paris et tueurs à gages armés de pistolets à eau
est-ce qu'il y a des bénabarges parisiens qui participent?
Il me reste encore 2 semaines, alors je compatis grand comme CA !Mareck a écrit : bon je commence en vous informant qu'aujourd'hui, c'est mon dernier
jour de congés![]()
...pareil pour moi : pas au courant et pas libre (du moins pas le matin...)Ananais a écrit :Ben non je n'étais pas au courantmartingale a écrit :immense jeu de rôle dans les rues de Paris et tueurs à gages armés de pistolets à eau
est-ce qu'il y a des bénabarges parisiens qui participent?... en même temps aujourd'hui je ne peux pas
!
...ouais...je veux pas dire mais on a pas de bol avec les jeux de piste, il me semble...Ananais a écrit :La dernière fois qu'on a voulu faire un jeu de piste dans Paris (pour le 14 juillet) avec mes p'tites barges, on a fait chou blanc
tu reprend quoi au juste?Mareck a écrit :sympa merciEdelweiss a écrit :Bon dernier jour de vacances alors.
Et bon courage pour la reprise demain![]()
elle reprise ses fonds de culottes qu'elle a usés en restant assise aux terrasses des cafés pendant ses vacances!!!jmad a écrit :tu reprend quoi au juste?Mareck a écrit :sympa merciEdelweiss a écrit :Bon dernier jour de vacances alors.
Et bon courage pour la reprise demain![]()
ça dure 3 semaines, vous avez encore le temps les filles!Stéfanie a écrit :...pareil pour moi : pas au courant et pas libre (du moins pas le matin...)Ananais a écrit :Ben non je n'étais pas au courantmartingale a écrit :immense jeu de rôle dans les rues de Paris et tueurs à gages armés de pistolets à eau
est-ce qu'il y a des bénabarges parisiens qui participent?... en même temps aujourd'hui je ne peux pas
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merciJuly a écrit :Il me reste encore 2 semaines, alors je compatis grand comme CA !Mareck a écrit : bon je commence en vous informant qu'aujourd'hui, c'est mon dernier
jour de congés![]()
martingale a écrit :elle reprise ses fonds de culottes qu'elle a usés en restant assise aux terrasses des cafés pendant ses vacances!!!jmad a écrit :![]()
tu reprend quoi au juste?
Aller on se reprendArya a écrit :Je hais la rentrée...
Sans compter que dans deux jours c'est la reprise des cours.
Et il pleut.
Et il me manque.
Bref, j'ai le moral un peu dans les chaussettes
C'est joli ce que tu as écrit jmad.jmad a écrit :petite déprime de rentrée, heureusement que les bénabarges sont là !!! Et puis il vaut mieux manquer à quelqu'un plutôt que de ne manquer à personne.
Courage Arya, pis pleins de bisous.
douche27 a écrit : C'est joli ce que tu as écrit jmad.
Avec de si jolis mots cela ne peut que te remonter le moral Arya.![]()
Allez lançons un "couragethon" pour tous les barges qui ont le moral au fond des culottes maintenant reprisées de Mareck
fais gaffe en t'asseyant! non, ce n'est pas une hémorroïde...Mareck a écrit : je viens de recompter mes aiguilles avant de les ranger, il en manque
une![]()
mais dimanche tu nous manqueras!Mareck a écrit : Et quand on manque à personne, on fait quoi![]()
Euh, je parlais pas forcément de "mes" culottesmartingale a écrit :fais gaffe en t'asseyant! non, ce n'est pas une hémorroïde...Mareck a écrit : je viens de recompter mes aiguilles avant de les ranger, il en manque
une![]()
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ben alors bon courage pour cette nouvelle année étudiante!steffie a écrit :Ben moi je viens de m'inscrire à Lyon 2 pour une licence logiciels libres, je suis pas emballée à cette idée....
... autres réjouissances (Amélie Nothomb en dédicace).
Et je vais faire les vendanges pendant une semaine...
...y a pas quelqu'un pour m'expliquer de quel "succès" il parle ????Le Monde a écrit :Irak : Bush évoque un retrait de troupes "si les succès se poursuivent"
...ah ouais, tiens, ça rassure énormément, faut le dire......sinon, un peu plus bas on a écrit :"L'Amérique n'abandonne pas ses amis, l'Amérique n'abandonnera pas le peuple irakien"
Stéfanie a écrit :...y a pas quelqu'un pour m'expliquer de quel "succès" il parle ????
Le Monde a écrit :Irak : Bush évoque un retrait de troupes "si les succès se poursuivent"
arte.tv a écrit :Dans les années soixante-dix, l'épopée tragique et très médiatisée de David Setter, "l'enfant bulle", fait le tour du monde. à€ travers témoignages et images d'archives, retour sur le destin d'un petit otage de la science.
Le 21 septembre 1971, à Houston, Carol Ann Vetter met au monde un enfant atteint de DICS (Déficit immunitaire combiné sévère). En pleine euphorie du progrès scientifique, les médecins sont convaincus de découvrir un traitement approprié à brève échéance. En attendant, et avec l'accord des parents, le bébé est placé dans une bulle stérile, sous l'objectif des caméras du monde entier. Mais la solution tarde et l'enfant grandit, derrière les parois de son isolateur...
En retraçant l'oppressante et tragique épopée de David, le film met habilement en perspective le contexte de ce qui fut d'abord la première expérience de cobaye humain. Dans les années 70, portés par d'extraordinaires progrès scientifiques, les médecins se considèrent comme d'intrépides guerriers, à l'assaut des maladies incurables. Un triomphalisme amplifié par la télévision qui découvre à la même époque son nouveau pouvoir avec fascination. Véritable phénomène, l'enfant est constamment mis en scène sous le feu des médias. Jusqu'au jour où, à son chevet, biologistes et immunologues cèdent la place aux psychiatres. Car David, isolé du monde extérieur, sombre peu à peu dans la prostration. L'échec d'une greffe de moelle osseuse met un terme au calvaire du petit garçon, alors âgé de 12 ans. Le 22 février 1984, Carol Ann Vetter touche enfin son fils pour la première et la dernière fois. à‰trangement, trente ans après, le trio de médecins chargé de "l'enfant bulle" n'éprouve aucun regret.
bon courage pour le concours, c'est la galère, après deux ans... moi je me tate, en tout cas bon courage !steffie a écrit :Ben moi je viens de m'inscrire à Lyon 2 pour une licence logiciels libres, je suis pas emballée à cette idée. J'aurais préféré bosser mais le secteur de la documentation est bouché en ce moment, et pour travailler en bibliothèque je peux passer un concours en mai 2008...
Je l'ai vu il y a très longtemps ce film et à cette époque il m'avait aussi fait froid dans le dos.ccl a écrit :
Sinon, quelquÂ’un a regardé L'enfant bulle sur Arte lundi soir ? CÂ’est une histoire absolument terrifianteÂ… L'histoire d'un enfant qui a passé toute sa - courte - vie (soit 12 ans) dans un isolateur stérile, complètement coupé du monde...:
C'était soit il vivait dans une bulle, soit il mourrait tout de suite, peu après sa naissance. Parfois, dans la vie, on peut se retrouver devant des dilemmes assez durs ....laurence_3004 a écrit :![]()
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Mais c'est affreux de laisser un gamin douze ans là dedans!
Oué je pense qu'on se trouve là dans une situation terrible, c'est un choix vraiment difficile et quelque soit celui des parents il me semble délicat à juger...laurence_3004 a écrit :Le problème, c'est que d'après l'article, il l'ont mis là dedans sans savoir quand il en sortirait, et entre vivre douze ans entre dépression et isolement ou mourir, franchement je suis pas sûre de mon choix... Après y a toujours la théorie du "y a toujours un espoir, priorité à la vie ect..." Mais bon je trouve qu'ils ont joué à l'apprenti sorcier là , ils sont sans doute partis d'une bonne intention mais je me demande si a posteriori ils n'ont pas regretté leur choix.
les infos a écrit :Il est 8 heures mardi matin lorsqu'un SDF pénètre dans l'épicerie AZ, située rue Maurice-Ravel à Epinay-sur-Seine. Le gérant, une figure charismatique du quartier de la Source depuis 30 ans, le connaît car il le nourrit régulièrement. Les deux hommes se disputent alors au sujet d'une bouteille d'alcool que l'épicier ne veut pas donner. Le SDF, âgé de 41 ans, sort un couteau et poignarde Ali Zebboudj de plusieurs coups de couteau. Atteint à l'abdomen et au thorax, le commerçant de 54 ans décède peu avant 9 heures. Retenu par des clients après son geste, l'agresseur réussit à prendre la fuite mais est rattrapé quelques minutes plus tard par les policiers. Selon les habitants du quartier, le SDF était par le passé venu à deux reprises avec un couteau et avait été maîtrisé.
Figure charismatique et bienveillante du quartier de la Source, où il avait tenu un autre commerce dans un centre commercial aujourd'hui détruit, Ali Zebboudj avait été en 2006 le personnage principal d'un documentaire sorti dans les salles, "Alimentation générale" de Chantal Briet. L'épicier était apprécié de tous les riverains. "C'était un père pour nous, le coeur du quartier", ont raconté des habitants.
De toute façon, c'est dit : Félix a un alibi.martingale a écrit : ayé Félix s'est vengé...
C'est vrai que c'est pas beau de dire ça.martingale a écrit :
c'est pas bien mais c'était plus fort que moi...
c'est génial! enfin, pour des novices comme moi! car je pense que le plaisir de Jmad, avant de voir tout ça, c'est d'installer son matériel et tout et tout...ln.miaoum a écrit : Un cadeau pour Jmad
Télérama a écrit :Le choc. « Ce vieux corps maigre et dans le coma » quÂ’elle découvre sur un lit dÂ’hôpital serait le père quÂ’elle nÂ’a jamais connu. LÂ’intrusion soudaine, dans la vie de Claire, de cet étranger mourant, cÂ’est comme une espèce de trou noir affectif quÂ’elle fuit, puis qui lÂ’attire. Comment se réinventer une filiation sans perdre le fil dÂ’un quotidien comblé par deux enfants et un boulot accaparant ? Isabelle Pralong, repérée en 2004 grâce à un remarquable livre pour enfants (Fourmi ?), a lÂ’art dÂ’articuler en séquences simples et allègres des petits riens quotidiens autour de la lancinante interrogation existentielle de son héroïne. Son dessin chahuteur a valeur de manifeste : il ne triche pas avec le malaise de Claire, mais il nie tout pathos. En dynamitant drôlement les perspectives et les volumes, en jouant avec les bulles, en « habillant » avec une verve visuelle très expressive la gravité du propos (le cauchemar, en cinq planches, est un petit chef-d’œuvre...), lÂ’auteure traduit à merveille un intense bouillonnement intérieur : les montagnes russes intimes dÂ’une jeune femme qui apprend comme elle peut à apprivoiser des émotions toute neuves.
Jean-Claude Loiseau