Posté : 21 nov. 2007 23:20
et aprés y'en a qui disent que le metier des conducteurs de bus est de tout repos 

de l'écoute et de la solidaritéadrienar a écrit :Je ne suis pourtant en rien un révolutionnaire mais merde un peu de folie quoi de mieux !!!
Excuse moi, mais pourquoi citer 1988 ?adrienar a écrit :En 1988 ? retourner un bus était plutôt perçu de manière positive par les jeunes, ce n'est plus le cas aujourd'hui .
nb / Rassurez - vous, je n'ai pas retourné de bus en 1988 mais j'ai tout de même arrangué les crs et soutenais le bordel orchestré .![]()
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20 ans après, je me suis tout de même calmé .
oui (Alexis HK en parlait très bien c'était ses 14 ans "avec toute la puissance d'un 50 cm cube") et les pays bas ont gagné l'euro 1988, et c'était les JO à Séoul (Ben Johnson trop puissant) et Céline Dion remporte le concours Eurovision pour la Suisse etc etcombre souriante a écrit :en revanche mitterrand a été réélu
tu veux dire que "vu de maintenant ça parait normal"? parce que de ce que j'ai appris en cours d'histoire (j'étais pas néalex16 a écrit :oui mais à l'époque c'était nécessaire.
et c'est bien pour cela que "les cheminots" demandent que tout le monde passe à 37,5 annuitésalex16 a écrit :
ce que je n'arrive pas à comprendre c'est que les cheminots pour garder leur 37.5 annuités mettent en avant la "pénibilité" de leur travail du fait qu'ils ont (on va résumer) des horaires décalés et d'astreinte.
Et bien ils ne sont pas les seuls.
chriscas a écrit : montrant des ronds de cuir
Ba quoi, ca a traumatisé tout une génération le dilemme légo / playmobil. Après t'es catalogué toute ta viejuma a écrit :![]()
et que craquinette continue à créer des fils qui à mon sens me semble plus intéressants qu'un pseudo dilemme entre playmobil ou lego ...
ca va là ?
A chacun, d'envoyer un mail selon ses opinions.....KIKILULU qui a reçu ceci, et m' a demandé de vous le mettre sur ce fil a écrit :Appel aux citoyens inquiets ,
en colère... et silencieux
Merci de prendre le temps de lire ce message et, si vous adhérez à son
contenu, de le relayer le plus largement et rapidement possible. Il y est
question de notre avenir, de celui de nos enfants et de notre pays. Il est
rédigé par un observateur-citoyen inquiet et en colère*.
Sous divers prétextes, les bénéficiaires des régimes spéciaux défendent le
maintien de ce que l'on doit appeler, en toute objectivité, des privilèges
. A tous ceux qui s'efforcent de regarder la société sans prisme
idéologique ou politique, mais en se réclamant du bon sens, de l'équité,
de la solidarité, de la responsabilité, leur attitude paraît
irresponsable, voire indécente. Rappels :
. Les bénéficiaires des 128 régimes concernés partent à la retraite bien
avant ceux du régime général. Exemples : 50 ans pour les agents de
conduite SNCF ou RATP; 53 ans pour les sénateurs, 55 pour les députés qui
auraient dû montrer l'exemple...;
. La durée moyenne de leur retraite est pour beaucoup supérieure à celle
de leur vie active et ils percevront ainsi plus de pensions qu'ils n'ont
reçu de salaires !
. Le montant de leur retraite est calculé sur les 6 derniers mois de
salaire (comme pour les fonctionnaires, qui bénéficient encore à ce titre
d'un régime spécial), soit un écart considérable par rapport aux 25 années
du régime général. Leur taux de cotisation est en outre souvent inférieur
(7,8% contre 10 à 11%);
. La plupart bénéficient par ailleurs d'un autre privilège important : la
garantie de l'emploi ;
. Dans l'immense majorité des cas, l'existence de ces "exceptions" n'est
plus justifiée par une pénibilité particulière du travail;
. Le coût de ces régimes (qui concernent 1,2 million de retraités pour
seulement 560 000 actifs) représente 15 milliards d'euros pour 2007, dont
la moitié payée par la collectivité.
. La France est le seul pays développé au monde où demeurent de telles
inégalités;
. La réforme de ces régimes est souhaitée par 82% des Français (sondage
Metro/Ifop, 11 octobre 2007), y compris par une majorité des agents de la
Fonction publique;
. On estime à 300 milliards d'euros les engagements de retraite des sept
principaux régimes spéciaux au cours des six prochaines décennies : une
charge injuste et insupportable pour les générations futures.
Un constat semblable peut être fait pour les autres réformes jugées
nécessaires par la grande majorité des experts : université; recherche;
fonction publique; système de santé; droit du travail; justice; dialogue
social... Réalisées dans les autres pays depuis des années, elles sont
chez nous sans cesse bloquées par des minorités fortement politisées,
incapables d'appréhender la réalité du monde et la nécessité de s'y
adapter (ce qui n'interdit pas de chercher à l'améliorer).
La réforme des régimes spéciaux était a priori la plus "facile" et
consensuelle, d'autant qu'elle a été comme d'habitude proposée aux
intéressés avec des aménagements et un étalement dans le temps. Un recul
du gouvernement rendrait donc quasiment impossible la mise en œuvre des
réformes plus "difficiles". Il démontrerait une fois encore que des
individus et organisations se réclamant des principes d'égalité et de
solidarité défendent en réalité des corporatismes, des égoïsmes, des
privilèges injustifiables ou un statu quo insupportable. Comme en 1995,
ils peuvent (souhaitent peut-être, pour certains) paralyser le pays et
l'enfoncer un peu plus dans la crise économique et morale.
Cette attitude est irresponsable et dangereuse. De plus, la conjoncture
économique actuelle ne permet pas de différer plus longtemps les réformes,
sous peine d'un nouveau décrochage national, avec de graves conséquences
sur le pouvoir d'achat, la cohésion sociale, la place de la France dans le
monde. Rappelons enfin que les grèves occasionnent une gêne considérable
pour les particuliers, coûtent très cher à la collectivité (150 millions
d'euros pour celle du 18 octobre dans les transports pour la seule région
Ile-de-France), affectent la compétitivité déjà réduite de la France, son
attractivité et son image à l'extérieur, donc son avenir.
Face à cette situation, les citoyens inquiets et en colère ne peuvent
rester silencieux. Pour leur propre dignité, pour l'avenir de leurs
enfants et du pays, ils ne doivent pas laisser le monopole de l'expression
à ceux qui refusent l'adaptation. C'est pourquoi je vous propose de :
. Relayer cet appel aux personnes figurant dans votre carnet d'adresse
(avec ou sans mention de l'auteur, qui ne signe ce texte que par souci de
transparence);
. L'envoyer aux médias pour qu'ils rendent davantage compte de votre
avis;
. Le mentionner (en tout ou partie) sur les forums, blogs et sites
internet que vous animez ou fréquentez;
. Imaginer et proposer des "manifestations virtuelles" (ou réelles)
originales, aussi visibles et efficaces que les grèves;
. Me faire part de vos commentaires et suggestions à l'adresse ci-dessous.
Nous ne pouvons accepter que le pouvoir de nuisance de quelques-uns mette
en péril notre avenir commun.
*Gérard Mermet
sociologue (auteur de Francoscopie )
adresse de contact : citoyensresponsables@free.fr
et pas Milou ?KIKILULU a écrit : KLEM (tout en majuscule)[...] vous êtes fichés aux RG