Re: "Incognito" Bénabar au cinéma
Posté : 30 avr. 2009 14:08
j'ai editer 

Y'a Benabar dans mon forum !
https://benabar.pifpaf.ch/benabar/
La claaasse avec Bénabarclaire8854 a écrit :Je l'ai vu en avant première à Strasbourg, en présence de Bénabar! Et c'était GENIAL§§§§§§
claire8854 a écrit :un gamin est descendu dans la salle et lui a couru après pour avoir un autographe!
Alison a écrit : Devinez qui arrive 1er à ce petit jeu ?
Est-ce qu'on prévient l'OMS de ce nouveau cas trés, trés suspectklem ogre de benabarback a écrit :c'est grave !!!
il faut consulter là !
Le Canard enchaîné a écrit :Avec la complicité d'un vieil ami qui squatte chez lui, un chanteur à succès cherche à se faire passer incognito, afin de mieux dissimuler à un pote de jeunesse revenu de l'étranger qu'il lui a en fait piqué ses chansons...
Sur cet argument classique, Eric Lavaine réussit un film plutôt réjouissant, enlevé, qui passe haut la main le test comique : on rit, et à chaque fois pour des raisons différentes. Car il y en a ici pour tous les goûts, et tous les types d'humour : le comique de situation venu du théâtre; le "non sense" ou l'absurde à l'anglaise, la gaudriole bien française ou la grande tradition de la drôlerie alcoolisée... En parasite candide, Franck Dubosc est vraiment drôle (et beaucoup plus subtil que l'image réductrice dont il souffre). Mais le réalisateur a l'intelligence de ménager toute une partie sans sa présence ravageuse. Et de faire ainsi la preuve que son film est aussi comique sans lui, lorsque Bénabar, très convaincant pour ses débuts à l'écran, et l'excellent Jocelyn Quivrin se renvoient seuls la balle. C'est du "ciné populaire dans le sens le plus noble du terme" selon le mot de Quivrin. Et il n'a pas tort, cette comédie française mérite de se tailler un joli succès.
David Fontaine
+ 1klem ogre de benabarback a écrit :![]()
très sympa cet article
En effetklem ogre de benabarback a écrit : et plutôt surprenant venant du Canard Enchaîné
Mareck a écrit :Ah oui, en effet
Télérama a écrit :On vous en raconte une bien bonne ? Une comédie avec Franck Dubosc cul nu peut être agréable ! L'humoriste joue dans Incognito d'Eric Lavaine, le pote parasite et idiot d'une nouvelle star de la chanson qui bâti sa gloire sur une imposture et voit débarquer un témoin gênant de son passé. Le scénario engendre des gaffes et des quiproquos plutôt bien exploités
heuuu...Niennanou a écrit : Toi, tu as bien le droit de faire une erreur
Esprit-critique a écrit :Comédie maline au scénario plutôt bien ficelé, Incognito résiste bien à la piètre prestation de Bénabar et à l’omniprésence de Franck Dubosc...
Comment dire... Je n’aime pas les chansons de Bénabar, Franck Dubosc triomphe avec un humour (?) qui m’échappe totalement, j’ai à peine entendu parler de Jocelyn Quivrin et Eric Lavaine signe son premier film ou presque ! Autant dire que s’il était un spectateur improbable pour Incognito, c’était bien moi. Sauf que le hasard se mêle quelquefois de brouiller les pistes et de vous amener là où vous ne pensiez pas forcément aller...
Un peu comme pour Lucas (Bénabar), star malgré lui : chanteur amateur, contrôleur à la RATP, il tombe par hasard sur le carnet de chansons d’un copain qu’il croyait disparu. Maquette, major, contrat, enregistrement, succès fulgurant ! Mais quand le copain réapparaît, plutôt que de tout avouer, Lucas demande à Francis (Franck Dubosc dans le rôle d’un comédien raté) de prendre sa place et de faire croire que la réussite matérielle ostentatoire dans laquelle il vit est la sienne
Comment dire encore... Bénabar est encore moins intéressant en comédien qu’en chanteur (je sais, ça semble difficile à imaginer), Franck Dubosc fait du Dubosc caricaturant Dubosc et Eric Lavaine filme tout ça comme si le champ-contrechamp était le summum de la fantaisie cinématographique !
Et pourtant on rit souvent dans Incognito. D’un rire potache et bon enfant nourrit de situations convenues, certes, mais de dialogues souvent réussis, de bons mots et de répliques efficaces. Et pour le coup on serait presque tenté de rendre à Bénabar ce qui lui appartient puisque le chanteur est aussi scénariste et dialoguiste (comme il l’avait dans une autre vie sur la série H où il avait rencontré Eric Lavaine, justement).
On ne recherchera donc pas l’anonymat pour se faufiler dans la queue d’une séance d’Incognito, gentille et maline petite comédie de printemps qui se laisse voir sans trop de mauvaise conscience.
Joël Fompérie