Posté : 01 oct. 2006 10:35
Parce que c'est elle qui semble la mieux placée pour gagner?KIKILULU a écrit :Je ne sais pas pourquoi, il a voulu se rallier si rapidement à SEGO.
Parce que c'est elle qui semble la mieux placée pour gagner?KIKILULU a écrit :Je ne sais pas pourquoi, il a voulu se rallier si rapidement à SEGO.
pour avoir un bout du gâteau voyons.... certes surement au detriment de ses idées...KIKILULU a écrit :OK, ça je l'ai compris.
Mais RM est minoritaire et loin je pense des idées de SEGO. Quelle influence pourra-t-il avoir ??? c'est juste pour avoir éventuellement une gâche ?
alors que pourtant j'ai repondu des trucs dont j'étais pas fier mais à la fin en exagerant puis en minorant on doit finir par retomber sur ses pieds.The Resistance
Achtung! You are 15% brainwashworthy, 36% antitolerant, and 52% blindly patriotic
Welcome to the Resistance (Der Widerstand)! You believe in freedom, justice, equality, and your country, and you can't be converted to the the dark side.
Breakdown: your Blind Patriotism levels are borderline unhealthy, but you show such a love of people from everywhere and a natural resistance to brainwashing, you would probably focus your energy to fight the Fuehrer with furor, so to speak.
Conclusion: born and raised in Germany in the early 1930's, you would have taken up ARMS against the oppressors. Or even your friends' oppressors. Congratulations!
Less than 5% of all test takers earn a spot in the Resistance!
Je ne suis pas tres surpris sauf que vu l'etat actuel du PS je ne me sens pas represent(e/able), et ca ca m'enerve facilement. Enfin j'irais prendre le maquis, dans les cevennes y'a de belles plantes qui pousent.Vous vous situez à gauche.
Les partis dont vous êtes le plus proche (dans l'ordre) :
1. le Parti Socialiste (l'aile gauche du Parti Socialiste)
Et, dans une moindre mesure :
2. le Parti Communiste
mais, en règle générale, vous accordez plus d'importance à la responsabilité personnelle des gens (ou moins d'importance au contexte dans lequel les gens évoluent).
Le(s) parti(s) qui vien(nen)t ensuite :
3. les Verts
mais vous ne partagez pas la même opinion sur l'importance de la responsabilité personnelle des gens.
4. le Mouvement Républicain et Citoyen (MRC) de Jean-Pierre Chevènement
mais vous êtes plus ouvert sur les questions liées à l'évolution des moeurs.
5. le Parti Radical de Gauche (PRG)
mais vous accordez plus d'importance au rôle de l'Etat dans le domaine économique et social.
La preuve - s'il en fallait une - qu'on peut militer sans renier son amour des belles lettres et de la chanson française : http://www.dsk2007.net/Strauss-Kahn_y_va_gagner.mp3.Spountz, répondant à Héléno lui suggérant que la politique lui faisait oublier l'essentiel, a écrit :ah oui, la musique!!!
C'est ici!!
Tu as cours le mercredi apres midi???Elaeudanla a écrit :Vous venez de changer le cours de mon après midi
Maintenant que Milou est revenu sur le forum, tu peux redevenir normal, Alain... Finis les jeux de mots foireux! Bonjour 21 avril et coquilles St Jack !Alain D. a écrit :Tu as cours le mercredi apres midi???Elaeudanla a écrit :Vous venez de changer le cours de mon après midi
Chacalette, Miss Claf'Queeny .... je t'aime ...( comme un fou , comme un soldat , une star de cinéma ... )Elaeudanla a écrit :Maintenant que Milou est revenu sur le forum, tu peux redevenir normal, Alain... Finis les jeux de mots foireux! Bonjour 21 avril et coquilles St Jack !Alain D. a écrit :Tu as cours le mercredi apres midi???Elaeudanla a écrit :Vous venez de changer le cours de mon après midi
Pour plus d'infos sur le sujet:Pour la plupart des responsables politique, la croissance, parce quÂ’elle est la clef du progrès environnemental, parce quÂ’elle fournit les ressources permettant dÂ’investir dans les technologies propres, est la solution, non le problème.
Dans le fond, cette position est largement partagée par la gauche, y compris par de nombreux altermondialistes qui considèrent que la croissance est aussi la solution du problème social en créant des emplois et en favorisant une répartition plus équitable. Mais il existe un malaise au sein du peuple de gauche. La raison du conflit, est sans doute dÂ’oser aller à lÂ’encontre dÂ’une sorte de pensée unique, commune à presque toute la classe politique française, qui affirme que notre bonheur doit impérativement passer par plus de croissance, plus de productivité, plus de pouvoir dÂ’achat, et donc plus de consommation.
Après quelques décennies de gaspillage frénétique, il semble que nous soyons entrés dans la zone des tempêtes au propre et au figuré... Le dérèglement climatique sÂ’accompagne des guerres du pétrole, qui seront suivis de guerres de lÂ’eau, mais aussi de possibles pandémies, de disparitions dÂ’espèces végétales et animales essentielles du fait de catastrophes biogénétiques prévisibles.
Dans ces conditions, la société de croissance nÂ’est ni soutenable ni souhaitable. Il est donc urgent de penser une société de « décroissance » si possible sereine et conviviale.
La société de croissance peut être définie comme une société dominée par une économie de croissance, précisément, et qui tend à sÂ’y laisser absorber. La croissance pour la croissance devient ainsi lÂ’objectif primordial, sinon le seul, de la vie. Une telle société nÂ’est pas soutenable parce quÂ’elle se heurte aux limites de la biosphère.
Pour concilier les deux impératifs contradictoires de la croissance et du respect de lÂ’environnement, les experts pensent trouver la potion magique dans lÂ’écoefficience, pièce centrale et à vrai dire seule base sérieuse du « développement durable ». Il sÂ’agit de réduire progressivement lÂ’impact écologique et lÂ’intensité du prélèvement des ressources naturelles pour atteindre un niveau compatible avec la capacité reconnue de charge de la planète.
Que lÂ’efficience écologique se soit accrue de manière notable est incontestable, mais dans le même temps la perpétuation de la croissance forcenée entraîne une dégradation globale. Les baisses dÂ’impact et de pollution par unité de marchandise produite se trouvent systématiquement anéanties par la multiplication du nombre dÂ’unités vendues. La « nouvelle économie » est certes relativement immatérielle ou moins matérielle, mais elle remplace moins lÂ’ancienne quÂ’elle ne la complète. Au final, tous les indices montrent que les prélèvements continuent de croître.
Enfin, il faut la foi inébranlable des économistes orthodoxes pour penser que la science de lÂ’avenir résoudra tous les problèmes et que la substituabilité illimitée de la nature par lÂ’artifice est concevable.
La société de croissance nÂ’est pas souhaitable pour au moins trois raisons : elle engendre une montée des inégalités et des injustices, elle crée un bien-être largement illusoire ; elle ne suscite pas pour les « nantis » eux-mêmes une société conviviale, mais une anti-société malade de sa richesse.
LÂ’élévation du niveau de vie dont pensent bénéficier la plupart des citoyens du Nord est de plus en plus une illusion. Ils dépensent certes plus en termes dÂ’achat de biens et services marchands, mais ils oublient dÂ’en déduire lÂ’élévation supérieure des coûts. Celle-ci prend des formes diverses, marchandes et non marchandes : dégradation de la qualité de vie non quantifiée mais subie (air, eau, environnement), dépenses de « compensation » et de réparation (médicaments, transports, loisirs) rendues nécessaires par la vie moderne, élévation des prix des denrées raréfiées (eau en bouteilles, énergie, espaces verts...).
La décroissance est une nécessité ; ce nÂ’est pas au départ un idéal, ni lÂ’unique objectif dÂ’une société de lÂ’après développement et dÂ’un autre monde possible. Mais faisons de nécessité vertu, et concevons, pour les sociétés du Nord, la décroissance comme un objectif dont on peut tirer des avantages. Le mot dÂ’ordre de décroissance a surtout pour objet de marquer fortement lÂ’abandon de lÂ’objectif insensé de la croissance pour la croissance. En particulier, la décroissance nÂ’est pas la croissance négative, expression antinomique et absurde qui voudrait dire à la lettre : « avancer en reculant ».
On sait que le simple ralentissement de la croissance plonge nos sociétés dans le désarroi en raison du chômage et de lÂ’abandon des programmes sociaux, culturels et environnementaux, qui assurent un minimum de qualité de vie. On peut imaginer quelle catastrophe serait un taux de croissance négatif ! De même quÂ’il nÂ’y a rien de pire quÂ’une société du travail sans travail, il nÂ’y a rien de pire quÂ’une société de croissance sans croissance. CÂ’est ce qui condamne la gauche institutionnelle, faute dÂ’oser la décolonisation de lÂ’imaginaire, au social libéralisme. La décroissance nÂ’est donc envisageable que dans une « société de décroissance » dont il convient de préciser les contours.
Une politique de décroissance pourrait consister dÂ’abord à réduire voire à supprimer le poids sur lÂ’environnement des charges qui nÂ’apportent aucune satisfaction. La remise en question du volume considérable des déplacements dÂ’hommes et de marchandises sur la planète, avec lÂ’impact négatif correspondant (donc une « relocalisation » de lÂ’économie) ; celle non moins considérable de la publicité tapageuse et souvent néfaste ; celle enfin de lÂ’obsolescence accélérée des produits et des appareils jetables sans autre justification que de faire tourner toujours plus vite la méga machine infernale : autant de réserves importantes de décroissance dans la consommation matérielle.
Ainsi comprise, la décroissance ne signifie pas nécessairement une régression de bien-être.
Pour concevoir la société de décroissance sereine et y accéder, il faut littéralement sortir de lÂ’économie. Cela signifie remettre en cause sa domination sur le reste de la vie, en théorie et en pratique, mais surtout dans nos têtes. Une réduction massive du temps de travail imposé pour assurer à tous un emploi satisfaisant est une condition préalable. On peut, sÂ’inspirant de la charte « consommations et styles de vie », synthétiser tout cela dans un programme en six « r » : réévaluer, restructurer, redistribuer, réduire, réutiliser, recycler. Ces six objectifs interdépendants enclenchent un cercle vertueux de décroissance sereine, conviviale et soutenable. On pourrait même allonger la liste des « r » avec : rééduquer, reconvertir, redéfinir, remodeler, repenser, etc., et bien sûr relocaliser, mais tous ces « r » sont plus ou moins inclus dans les six premiers.
On voit tout de suite quelles sont les valeurs quÂ’il faut mettre en avant et qui devraient prendre le dessus par rapport aux valeurs dominantes actuelles. LÂ’altruisme devrait prendre le pas sur lÂ’égoïsme, la coopération sur la compétition effrénée, le plaisir du loisir sur lÂ’obsession du travail, lÂ’importance de la vie sociale sur la consommation illimitée, le goût de la belle ouvrage sur lÂ’efficience productiviste, le raisonnable sur le rationnel, etc. Le problème, cÂ’est que les valeurs actuelles sont systémiques : elles sont suscitées et stimulées par le système et, en retour, elles contribuent à le renforcer. Certes, le choix dÂ’une éthique personnelle différente, comme la simplicité volontaire, peut infléchir la tendance et saper les bases imaginaires du système, mais, sans une remise en cause radicale de celui-ci, le changement risque dÂ’être limité.
Vaste et utopique programme, dira-t-on ? La transition est-elle possible sans révolution violente, ou, plus exactement, la révolution mentale nécessaire peut-elle se faire sans violence sociale ? La limitation drastique des atteintes à lÂ’environnement, et donc de la production de valeurs dÂ’échange incorporées dans des supports matériels physiques, nÂ’implique pas nécessairement une limitation de la production de valeurs dÂ’usage à travers des produits immatériels. Ceux-ci, au moins pour partie, peuvent conserver une forme marchande.
Toutefois, si le marché et le profit peuvent persister comme incitateurs, ils ne peuvent plus être les fondements du système. On peut concevoir des mesures progressives constituant des étapes, mais il est impossible de dire si elles seront acceptées passivement par les « privilégiés » qui en seraient victimes, ni par les actuelles victimes du système, qui sont mentalement ou physiquement droguées par lui.
Cependant, lÂ’inquiétante canicule 2003 a fait beaucoup plus que tous ces arguments pour convaincre de la nécessité de sÂ’orienter vers une société de décroissance. Ainsi, pour réaliser la nécessaire décolonisation de lÂ’imaginaire, on peut à lÂ’avenir très largement compter sur la pédagogie des catastrophes.
tiens le retour de Sarah ?????Sarah a écrit :Dominique nique-nique !
milou a écrit :tiens le retour de Sarah ?????Sarah a écrit :Dominique nique-nique !
Sarah nous honore ...Alain D. a écrit :milou a écrit :tiens le retour de Sarah ?????Sarah a écrit :Dominique nique-nique !Coucou Sarah
Et ouai d'ailleurs je vais y aller......bba a écrit :Mais dites donc, les Bordelais, vous votez aujourd'hui, si je ne m'abuse (docteur). C'est le retour de la vengeance de Juppé....
Sarko qui gagne au deuxiéme tour contre Ségolène a 3 votes présKIKILULU a écrit :Je vote toutes les semaines sur : http://www.votez2007.com/
Ca fait un bail que SARKO est en tête de tous les 1ers tours et qu'il gagne les 2mes.
Je n'ai pas pensé à vous en parler avant.
Inversez la tendance !
Ben apparement moins qu'un certain pays démocratique Européen qui à envoyé un pro nazi au deuxieme tour des Presidentielles et qui a déja élu des Maires pro nazis (aussi)... Je peux pas dire le nom, vous ne connaissez surement pas... C'est pas chez nous que ça arriverait des choses pareilles...ln.miaoum a écrit :Et les belges, ils ne sont pas un peu dans la merde là ?
Il faut dire qu'aprespresque 1/2 siecle de chabanisme, Bordeaux était plus qu'endormie... Il est vrai que depuis l'arrivée de Juppé, la belle s'est reveillée et embellie...KIKILULU a écrit :2. les BORDELAIS, je crois qu'ils l'aiment bien leur maire. "Et pis faut voir tout ce qu'il a fait pour BORDEAUX !! Ma brave dame. Et pis ceux qui sont pas contents yzavaitka zaller voter !!"
Les Bordelais pur jus (de raisinKIKILULU a écrit : Juste le temps de se refaire une petite virginité et c'est reparti![]()
Avec 55 % d'abstention il devait y avoir du monde sur la route de LACANAU !!!![]()
Mouarff le cliché !!! Je suis une vraie bordelaise et meme pire, une caudéranaise lool mais j'y peux rien j'y suis née et j'y habite.... Mais je suis sure que c'est moi qui ai le plus petit compte en banque du quartier loool...Num a écrit : Les Bordelais pur jus (de raisin ) ont une maison sur le Bâââââssin voyons
ouais enfin la popularité aux municipales c'est aussi Sarkozy ou Balkany...jmad a écrit :Alain Juppé fait parti des hommes politiques pour lesquelles j'ai beaucoup d'admiration. Je ne suis pas étonné qu'il soit aussi populaire dans sa ville.
t'es pas une RICHE bordelaise alorscecyle_33 a écrit :Mouarff le cliché !!! Je suis une vraie bordelaise et meme pire, une caudéranaise lool mais j'y peux rien j'y suis née et j'y habite....Num a écrit : Les Bordelais pur jus (de raisin ) ont une maison sur le Bâââââssin voyons
Il est tellement populaire qu'il a été élu par 56% des 50% d'inscrits qui ont voté... Je te laisse faire le calcul de ce que ça represente comme population...jmad a écrit :Alain Juppé fait parti des hommes politiques pour lesquelles j'ai beaucoup d'admiration. Je ne suis pas étonné qu'il soit aussi populaire dans sa ville.