Dominique A

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maxym
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Dominique A

Message par maxym »

s'il y a deja un post la dessus je ne l'ai pas trouvée dans la liste alors advienne que pourra de ce dernier....post...pas Dominique!...

un DVD en prevision le 26/10/04.
"en solo aux bouffes du Nord"!
...musculation....pour le palisir des yeux....et voila!...
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Quentin
Sitting on the docks of th Ebay
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Message par Quentin »

Il avait écrit un texte dans Charlie à  propos du téléchargement de musique sur internet ! C'est interessant d'avoir le point de vue d'un artiste là -dessus ...
La cavalerie du disque charge les téléchargeurs

Ainsi, l'industrie du disque évoque Waterloo, sonne la charge, et, pour pallier le manque à  gagner, criminalise le pauvre conneau qui a "volé" sa musique sur le Net. Si l'on s'en tient à  l'idée que la musique n'est que du vent, de l'immatériel, de l'air plus ou moins délicatement brassé, la particule atteint alors des prix prohibitifs. Et le "Déshabillez-moi" de Gréco de me venir à  l'esprit, et de se muer en "Téléchargez-moi... Téléchargez-moi... mais pas tout de suite... Pas trop vite... ".
Souvenez-vous, c'était dans les années 80. En lieu et place du beau vinyle noir, on nous impose le disgracieux compact argenté qui, en compensation, était censé nous survivre, à  nous et nos descendants, résister à  toutes les catastrophes naturelles et humaines (c'était il y a longtemps, on y croyait) et qui, de ce fait, méritait bien qu'on mette la main à  la pâte; en payant seulement deux fois plus cher le disque, on toucherait du doigt l'éternité (pour mémoire, le coût de fabrication du CD est trois fois inférieur à  celui du vinyle et les exemplaires d'alors sont tout bon­nement illisibles aujourd'hui). Rappelez-vous encore, un peu plus tard, ces disques qui sortaient et que l'indus­trie musicale refourguait, avec la béné­diction des artistes, agrémentés d'une tripotée d'inédits, le majeur bien tendu en direction de l'auditeur pressé qui avait eu, l'imbécile, son disque en main à  10 h 01 le jour de sa sortie. Et puis, aujourd'hui, ces mêmes albums dont le prix joue au yo-yo, au gré des sacrosaintes "opés" commerciales, variant du double au simple du jour au lende­main, retrouvant, tiens donc, le prix du vinyle. Enfin, souvenez-vous toujours de ce que fit l'entreprise Philips le len­demain du jour où elle revendit tout son catalogue artistique: elle lança sur le marché les graveurs de CD, et on l'entendit ricaner.
Aujourd'hui, nouveau credo, après l'instauration de l'infamante et sarkozyote copy-control: "Tu ne téléchargeras point". Les industriels de la musique en appellent, rions un peu, à  la responsabilité civique, au respect de la création. Personnellement, et c'est le but de ce petit laïus, je tenais à  exprimer mon refus de servir, en tant qu'artiste, de paravent pour légitimer l'inculpation et la pénalisation d'un individu qui aurait téléchargé mes chansons à  l'intention de ses propres oreilles. La liberté de l'artiste n'est à  mon sens en rien tribu­taire de celle de l'auditeur à  dis­poser de la musique comme il l'entend, dans un cadre privé, et il ne faudrait pas que l'inverse soit vrai. Les musiciens, souvent si prompts à  déclarer que leurs Âœuvres ne leur appartiennent plus une fois diffusées, doivent logi­quement accepter d'en être partielle­ment dépossédés sur le plan pécu­niaire. Enfin, en tant qu'auditeur de musique moi-même, je n'attends per­sonnellement pas d'elle qu'elle me ren­voie l'image d'une vilaine fée avec un bâton de gendarme pointé sur chaque note, et agité par une industrie para­noïaque qui, home studio oblige, a déjà  vu les musiciens se passer d'elle la plupart du temps pour produire leurs enregistrements, et peine aujourd'hui à  accepter que la diffusion de la musique ne passe pas non plus obliga­toirement par elle. On peut la com­prendre, mais certainement pas la suivre dans les solutions qu'elle se donne pour y remédier.

Dominique A
Barbelivien, ministre de la culture...
hug
...
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Message par hug »

on peut voir 5 extraits du DVD ici (chez Labels, qui se bouge quand même un peu plus le cul que la maison de disques de B, du moins pour faire un site officiel potable ...), avec notamment un flou passablement artistique sur le Courage des oiseaux ...

enfin, le parti-pris esthétique ne sera jamais pire que celui du DVD de B, à  ce que j'ai pu lire en diagonale ici ... voilà  qui ne m'encourage pas à  l'acheter (avec accessoirement un lecteur DVD, ça peut aider) ... pourtant c'est bizarre, je m'en fous ... comme le live d'ailleurs, même pas écouté et même pas mal ... je sais, c'est pêché, mais est-ce de ma faute à  moi ... ?

ça va faire des mois que je n'ai pas écouté un CD de B ... pas envie, et je crains que ça ne soit même pas cyclique ... pourtant j'adore le voir et l'écouter en concert, je ne me lasse jamais du spectacle vivant, pour employer une phraséologie syndicale ... mais pour le reste, bof ... pis j'en ai assez de la description en chanson, aussi bien écrite soit-elle, des petits scénarios du quotidien et blablabla ... je préfère l'évocation, la suggestion : ce n'est pas plus noble ni plus difficile, mais ça ouvre l'esprit ... avec le risque de ne pas rentrer dans la chanson (comme dans le cas de Dominique A précisément, dont une bonne partie des titres me laisse froid ... ce qui ne m'empêchera pas de le voir en live jeudi à  Rennes et vendredi à  Nantes, juste pour le reste) ... dommage que B n'ait pas fait davantage de Ricochets par exemple, ça aurait étendu son registre ... y en a marre des chansons "clefs en main" ...
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Ambre
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Message par Ambre »

J'espère juste ne jamais me lasser de B....mais pour l'instant c'est loin detre le cas alors j'ai de l'espoir! :)
hug
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Message par hug »

Ambre a écrit :J'espère juste ne jamais me lasser de B....mais pour l'instant c'est loin detre le cas alors j'ai de l'espoir! :)
je ne peux pas dire que je me lasse globalement de B : ce n'est absolument pas le cas des concerts (malgré une certaine habitude), ça l'est davantage pour les enregistrements live ... je suis en revanche totalement lassé des versions album, oui (sans pourtant les avoir écoutées énormément) ...
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Alain D.
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Message par Alain D. »

Télérama n° 2936 - 19 avril 2006

PORTRAIT


Image
Frédérik Froument pour Télérama
Dominique A chez lui, à  Bruxelles. Enfant, il s'isolait dans les champs pour chanter.


A est un autre
Quatorze ans de scène, sept albums et autant de vies. Portrait dÂ’un inclassable inlassable : Dominique A, le vétéran majuscule.

Il fait frisquet sur la pochette du septième album de Dominique A. Une simple photo, format identité, représentant un paysage marin encadré de collines sombres et dÂ’îlots neigeux, entre fin du monde et dégel polaire. On y devine une aube qui point, mais cÂ’est peut-être un crépuscule qui sÂ’éteint. à‡a sÂ’appelle LÂ’Horizon, un titre qui peut sembler paradoxal pour un chanteur quÂ’on a si souvent taxé dÂ’« intimiste ». LÂ’horizon, Dominique le baroudeur immobile en a pourtant embrassé plus dÂ’un. Se remettant en question après chaque album, sÂ’évadant à  tire-dÂ’aile – avec le « courage des oiseaux », comme il disait dans lÂ’une de ses premières chansons – dès quÂ’on tentait de le cataloguer. Au risque de dérouter, dÂ’agacer même.

Voilà  déjà  quatorze ans quÂ’A est un cas. Une sorte de trouvère de travers, de ménestrel extrême, de baladin sans badinage, qui, mine de rien, a fait exploser le train-train académique de la chanson dÂ’expression française. A une époque, on le surnommait « le chaînon manquant entre Barbara et Alan Vega », cÂ’est dire. Dans son premier album, La Fossette, en 1992, il posait en grand flandrin flou bricolant des morceaux à  la gravité romantique, qui parlaient de lÂ’hiver, de la pluie, des dimanches. Le tout susurré avec lÂ’aplomb timide et le spleen sobre dÂ’un Grand Meaulnes qui aurait agrippé une guitare. Trois ans et deux disques après, le voilà  qui décrochait un tube (la chanson Le Twenty-Two Bar, devenue une sorte dÂ’hymne bobo) et une Victoire de la musique un brin embarrassante pour quelquÂ’un qui nÂ’a jamais voulu frayer avec le monde de la variété.

Car cÂ’est en marge, comme lÂ’on dit des poèmes griffonnés dans les cahiers dÂ’écolier, que le songwriter sÂ’est toujours senti le plus à  lÂ’aise. La preuve avec Remué, son disque suivant, champ de mines sonores à  la beauté chaotique, à  la fois singulièrement expérimentale et douloureusement familière. Il y a deux ans, fasciné par lÂ’étrange album de Bashung intitulé LÂ’Imprudence, Dominique prenait le titre au pied de la lettre en sÂ’entourant de la même équipe que son aîné, pour publier un disque au même foisonnement symphonique, déconcertant, chamboulant, donc diversement accueilli – malgré un titre faussement rassurant, Tout sera comme avant.

Justement, avec Dominique A, rien nÂ’est jamais comme avant. Comme il dit : « Je préfère un bel échec à  une molle réussite. » Look ascétique tranchant avec un Âœil rieur et un abord à  la simplicité conviviale, le bourlingueur acoustique propose cette fois un disque lumineux, qui fleure les grands espaces et lÂ’aventure lyrique, à  la Jack London ou Herman Melville. QuÂ’il se poste à  la proue dÂ’un navire bloqué par les glaces ou à  bord dÂ’un camion bringuebalant sur les routes, cÂ’est avec des emballements émus, qui, chez un autre, pourraient passer pour de lÂ’emphase. Cavalcades de guitares sèches, giclées de cuivres et de bois, orages pianistiques, ce nouvel album est tout sauf opaque : plutôt épique et hors époque. « Je ressens une petite lassitude de la chanson domestique, avoue le responsable, je cherche quelque chose de plus panoramique. JÂ’ai lÂ’impression dÂ’évoluer sur les mêmes terrains dÂ’écriture depuis des années, alors jÂ’essaie de renouveler la forme. Pour les deux disques précédents, je mÂ’étais volontairement mis entre les mains de producteurs. Cette fois, jÂ’ai voulu retrouver le contact charnel avec la musique, lÂ’intimité de lÂ’écriture. »

Quand il était petit, dans son Provins natal, au fin fond de la Seine-et-Marne, Dominique sÂ’isolait dans les champs pour pouvoir chanter à  pleins poumons. Par pudeur, par retenue. A lÂ’image de la diction quasi chuchotée de ses premiers disques. Sa voix, il a mis longtemps à  lÂ’apprivoiser, surtout son vibrato, naturel, fiévreux, qui rappelle celui de Gérard Manset, lÂ’une de ses inspirations revendiquées. « AujourdÂ’hui, je nÂ’ai plus honte de ma voix, je lui trouve davantage de caractère. Je nÂ’ai jamais pris de cours de chant, je suis rétif à  toute forme dÂ’apprentissage. »

Un temps, au milieu des années 90, on a voulu introniser le loustic chef de file dÂ’une « nouvelle “nouvelle chanson française” », avec pour disciples des artistes comme Mathieu Boogaerts, Philippe Katerine ou Christophe Miossec : style rimailleurs trentenaires chuchotant leur mal-être sur fond de musiquettes bricolées à  la maison. Une défroque commode mais mal seyante, dont lÂ’intéressé sÂ’est vite débarrassé : « La mélancolie habite mes chansons, pas mon être. Je prends la chanson très au sérieux, mais ça ne mÂ’empêche pas de mÂ’amuser. Ecrire est un exercice rigoureux, pas douloureux. CÂ’est comme un jeu avec les personnages, je mÂ’amuse du sort que je leur réserve. JÂ’essaie dÂ’avoir une écriture cinématographique, avec des plans, des ellipses, des portes quÂ’on pousse. JÂ’aime lÂ’idée que la chanson soit un terrain dÂ’expérience. JÂ’aime quand elle déborde du cadre que je lui ai fixé. »

A 6 ou 7 ans, il a découvert Brel, Ferré et Ferrat aussi. Après, il a aimé Gainsbourg mais pas Gainsbarre. Et le rock, pour peu quÂ’il soit imagé, expérimental. Il dit que Brassens lui a toujours fait un peu peur, quÂ’il trouve ça austère musicalement. Lui est resté de cet apprentissage un sens presque classique de la métrique, entre alexandrins et octosyllabes : « CÂ’est un rythme un peu désuet, qui me correspond bien. » Mais son inspiration, il lÂ’a surtout puisée dans la littérature : « JÂ’ai toujours eu peur que mon expérience personnelle soit une source dÂ’inspiration insuffisante. Quand je lis un bouquin, il y a toujours un moment où une phrase se détache, où je sens quÂ’elle peut être un point de départ. Mais, à  la longue, cet emprunt à  la littérature crée une distance, donne lÂ’impression de nÂ’être quÂ’un coauteur... AujourdÂ’hui, ce sont les lieux qui mÂ’inspirent. LÂ’occasion de citer des noms ou des mots peu utilisés dans les chansons. »

Des mots aux sonorités évocatrices comme Burano, une île au large de Venise, auguri (« meilleurs vÂœux » en italien), Dobranoc (« bonne nuit » en polonais) ou, sur le dernier album, Antaimoro, nom dÂ’une tribu malgache. Un nom, dÂ’ailleurs, Dominique A a hésité avant de sÂ’en choisir un. Né Ané, il trouvait que son patronyme sonnait trop féminin, genre « Dominique-Anne ». Un temps, il a failli sÂ’appeler Dominique Citron, puis Dominique Belgique (« JÂ’avais même pensé à  un pseudo mystérieux comme Théo Torve »), avant dÂ’opter sagement pour la première lettre de lÂ’alphabet. A comme atypique ? QuÂ’il produise la chanteuse Françoiz Breut ou collabore avec le groupe dÂ’électro-post-rock Oslo Telescopic, ponde une chanson pour Jane Birkin ou des chroniques pour le magazine Epok, interprète Les Enfants du Pirée, de Dalida, ou Chiqué, chiqué, de Christophe, Dominique A, tête de Chéri-Bibi sur âme rimbaldienne, reste singulier. « On me dit souvent quÂ’on ne peut pas écouter mes disques en faisant la vaisselle. CÂ’est vrai, pas plus quÂ’on ne peut lire un livre en faisant autre chose. La chanson est un genre bâtard entre musique et poésie, mais je fais partie des gens qui la sacralisent. »



A ECOUTER : Nouvel album : LÂ’Horizon, Olympic Disk/Wagram (ffff).

CONCERT : Tournée à  partir dÂ’avril, le 23 mai à  Paris (La Cigale).

Philippe Barbot
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Message par Num »

Alain D. a écrit :Télérama n° 2936 - 19 avril 2006
« On me dit souvent quÂ’on ne peut pas écouter mes disques en faisant la vaisselle. CÂ’est vrai, pas plus quÂ’on ne peut lire un livre en faisant autre chose. La chanson est un genre bâtard entre musique et poésie, mais je fais partie des gens qui la sacralisent. »
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Message par Spountz »

c'était fantastique...
je vous raconte demain
Lecteur, dis toi qu'il existe un deuxième degré...

Es sind die Farben Grà¼n-WeiàŸ-Grà¼n, fà¼r die nur uns're Herzen glà¼hn'.
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Alain D.
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Message par Alain D. »

Spountz a écrit :c'était fantastique...
je vous raconte demain
Il est déja demain... Raconte!!!!
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Message par Elaeudanla »

Spountz a écrit :c'était fantastique...
Oui... magnifique, électrique, mélancolique, énergique.
Beau, quoi.
Mais moi, je ne fais pas de promesses en l'air.
La parole est à  la Saucisse !
(et je n'écoute pas Dominique A en faisant la vaisselle, Num !! Tu confonds avec Joe Dassin et Cali !)
Moi j'étais chaud comme la braise
Elle c'était un glaçon
C'était comme verser du lait-fraise
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Alain D.
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Message par Alain D. »

Elaeudanla a écrit : (et je n'écoute pas Dominique A en faisant la vaisselle, Num !! Tu confonds avec Joe Dassin)
Joe Dassin écoute Dominique A en faisant la vaisselle???? :shock:
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