Forum Bénabar

Charlita a écrit :Aloooors...

Pendant l'année, c'est Desperate Housewives et Grey's Anatomy, pour passer le temps. Y'a Friends qui reste une de mes séries inconditionnelles depuis des années sinon.

Et puis, récemment, j'ai découvert The Tudors, sur la dynastie anglaise du même nom et avec Jonathan Rhys-Meyer, et je dois avouer que c'est pas trop mal.
J'ai également commencé Heroes (j'avais déjà  bouffé du pilote il y a quelques mois mais pas du tout accroché, j'ai persisté comme on m'a dit, et ça va. Pas le truc de l'année, mais divertissant, ça sera mon truc pour l'été je pense), et Dexter.

Et tout ça, en VO bien évidemment!

klem ogre de benabarback a écrit :Bravo le VO

klem ogre de benabarback a écrit :est-ce que quelqu'un peut me faire un résumé des épisodes d'Heroes de samedi dernier
je n'ai pas pu les voir pour cause de concert d'Aldebert


par MP evidemment
merci d'avance

Heroes saison 2, bientôt en téléchargement... légal et payant

Gros cas de conscience : jusqu'à  présent, on pouvait aisément justifier le fait de télécharger les séries. Car où, ailleurs que sur les réseaux peer-to-peer, pouvait-on voir les épisodes de Heroes, Lost, Desperate Housewives, etc, dès le lendemain de la diffusion aux Etats-Unis, et qui plus est en version originale (et même en version sous-titrée en français, grâce au travail de nombreux internautes bénévoles) ? Un tel argument risque d'être bientôt obsolète. A partir du 25 septembre, TF1 va mettre en ligne sur sa plate-forme de VOD TF1 Vision chaque épisode de Heroes saison 2, en VOST, moins de 24 heures après leur diffusion sur NBC. Et ce, pour le prix de 2,99 euros l'épisode. Super ? L'internaute téléchargeur, un peu radin par principe, regrette tout de même que ce ne soit pas la formule gratuité+publicité qui ait été choisie...

Num a écrit :http://blogs.telerama.fr/numerique/2007 ... son-2.html

Heroes saison 2, bientôt en téléchargement... légal et payant

Gros cas de conscience : jusqu'à  présent, on pouvait aisément justifier le fait de télécharger les séries. Car où, ailleurs que sur les réseaux peer-to-peer, pouvait-on voir les épisodes de Heroes, Lost, Desperate Housewives, etc, dès le lendemain de la diffusion aux Etats-Unis, et qui plus est en version originale (et même en version sous-titrée en français, grâce au travail de nombreux internautes bénévoles) ? Un tel argument risque d'être bientôt obsolète. A partir du 25 septembre, TF1 va mettre en ligne sur sa plate-forme de VOD TF1 Vision chaque épisode de Heroes saison 2, en VOST, moins de 24 heures après leur diffusion sur NBC. Et ce, pour le prix de 2,99 euros l'épisode. Super ? L'internaute téléchargeur, un peu radin par principe, regrette tout de même que ce ne soit pas la formule gratuité+publicité qui ait été choisie...

prudence a écrit :Je viens de me regarder toute la saison 1 de How I Met Your Mother et je suis accro !!!
Souvent comparé a Friends mais je trouve ca meme mieux que Friends !
Bon les personnages sont un peu caricatruraux (mais c'est fait expres) mais aussi supers attachants !!!
J'entame la saison 2 des que possible !

Num a écrit :Par la grâââânde faute de Styx, je regarde les Soprano saison 6 (j'en fait un quart) et bon sang que c'est bien

Num a écrit :plus grande série comique de tous les temps (que j'ai pu voir) euh non je pense pas (je mettrais Friends devant je crois), mais arriver à  écrire 9 saisons d'une série sur rien* où les sous intrigues se croisent et "font sens" au final, c'est quand même super fort!!

Num a écrit :Dans un autre genre, t'as tenté Profit en vieille série arrêtée car trop cynique à  l'époque? Allez que 8 épisodes, ça se mange en une semaine maxi, Styxounette. Enfin bon ça passe après les révisions.

Num a écrit :Num toujours fan de Silvio et de Meadow

Num a écrit :ahh mais je vendrais mon âme à  une sarthoise pour revoir "les affranchis" (cela dit je l'ai en DVD donc bon, pas besoin de vendre l'ame que j'ai déjà  du refiler d'ailleurs).

Num a écrit :T'as pas aimé Oz?? J'ai vu une saison en VF (M6, connards!!!) et j'ai été sidéré par cette série politiquement subversive (ouais j'ose)

Num a écrit :Cela dit j'admets que dans l'ensemble Seinfeld est plus cérébral et plus raffiné que Friends

Num a écrit :Ah Paulie, je le haiiiis, il est même pas dans les "méchants qu'on déteste qu'on adore en même temps" (à  la Cersei Lannister pour ceux qui lisent le Trone de fer), juste je le supporte pas, il est tellement limité et con et pathétique et psychopathe et (oui bon j'arrête). Chris, j'aime bien même s'il ressemble à  Sarkozy (il a un petit rôle dans les Affranchis, rôle parodié dans The Sopranos sur un épisode )

Craquinette a écrit :Je pense que je vais me refaire l'intégrale de six feet under incessement sous peu

Num a écrit :je te trouve duraille avec Oz... parce que sur la place (le rôle) de la prison dans la société, la place de l'individu dans la prison, les utopies humanistes qui tournent mal, les clans, les leaders, les manipulateurs (quel que soit le côté des barreaux), les personnes "envoyées pour l'exemple qui finissent mal"... en 15 épisodes, j'ai trouvé ça super fort. Rien que la partie sur la peine de mort est franchement très forte

Num a écrit :sinon je suis pas peu fier d'avoir reconnu le cameo de David Chase dans "Luxury Lounge" (The Sopranos 6x07^^)

Télérama a écrit :Les clés du superpouvoir
“Heroes”, cÂ’est une série télé, mais aussi une BD, des jouets, une version InternetÂ… Son créateur, Tim Kring, en a fait une marque très rentable. Aurait-il des dons surnaturels ?
A 50 ans, Tim Kring, le créateur de Heroes (dont la première saison vient de sÂ’achever sur TF1), est devenu en un an le superhéros des médias américains. Comment ? En transformant une idée simple et un rien déjà  vue – des humains aux dons surnaturels sauvent le monde – en phénomène mondial. Et en très rentable produit marketing. Emblématiques dÂ’un nouveau modèle économique, les superpouvoirs de Heroes sÂ’étendent désormais dans cent cinquante pays diffuseurs, et bien au-delà  de lÂ’écran de télévision. Trop fort. Démonstration.

Superpouvoir no 1 : savoir manier les clés du succès !
En 2006, une mission épineuse tombait sur les épaules de Tim Kring, honnête scénariste de télé (Preuve à  lÂ’appui) : inventer pour NBC une série encore plus « addictive » que Lost. SÂ’impose alors lÂ’idée de Heroes, soit la destinée dÂ’une douzaine de personnages, éparpillés dans le monde (et surtout aux Etats-Unis). Le rusé Tim Kring tire des leçons de son modèle : pas question de se perdre dans un labyrinthe dÂ’énigmes. Chaque saison aura une fin : le téléspectateur qui aura raté la première pourra toujours prendre le train en marche. Visuellement, Heroes puise dans lÂ’univers des comics. Bien vu : cÂ’est déjà  une mine dÂ’or pour le cinéma (Spider-Man et consortsÂ…). Kring sÂ’entoure des cracks du genre, dont Jeph Loeb, lÂ’auteur de BD le plus en vue du moment. Résultat : les « geeks », ces fondus de science-fiction, adorent Heroes, et le grand public suit. Côté casting, la distribution multiculturelle de Heroes a tout pour séduire à  travers le globe : Hiro, le personnage japonais, nÂ’est-il pas le meilleur ambassadeur de la série en Asie ? Ajoutez un message en prise avec lÂ’air du temps – lÂ’amour et la solidarité vont sauver lÂ’humanité –, et laissez le charme agir.

Superpouvoir no 2 : posséder la magie du Web !
Les « heroes » viennent à  peine de sauver le monde sur TF1 (avec un succès dÂ’audience mitigé [1]) quÂ’ils sont déjà  sur le pied de guerre sur Internet : grâce à  un accord conclu avec NBC Universal, chaque épisode de la saison 2 sera diffusé en France sur la plate-forme VOD de la chaîne dès le lendemain de sa diffusion américaine. LÂ’initiative, unique au monde, sÂ’inscrit dans un plan de développement axé sur les nouveaux médias : face à  lÂ’ultraconcurrence qui fait baisser les prix, une série doit diversifier ses sources de revenus. « LÂ’ancien modèle qui consistait à  faire une série et à  la vendre à  lÂ’étranger ne marche plus. LÂ’avenir du divertissement est sur les ordinateurs, les iPod, les téléphones portables. Le nouveau modèle devra être capable de raconter des histoires sur tous ces supports. Et je ne veux pas être le type qui a raté la vague », expliquait récemment Tim Kring dans le magazine Mediaweek. Heroes chouchoute donc son cÂœur de cible : lÂ’internaute pourra bientôt voir des épisodes créés exclusivement pour la Toile.

Superpouvoir n° 3 : maîtriser la science du marketing !
Entre deux épisodes, le fan ne manque pas dÂ’occupations : il peut se plonger dans les BD Heroes éditées par les mythiques éditions DC Comics, glaner des infos sur le futur « spin-off » de sa série (2) grâce au magazine bimensuel, revivre les aventures de ses héros grâce aux jouets et jeux vidéoÂ… Quant aux acteurs, ils viennent de jouer les super-VRP lors dÂ’une tournée mondiale pour la promo du DVD. Heroes nÂ’est plus une série, cÂ’est une marque. Désengagé de la production et de lÂ’écriture de la série, Kring en gère désormais lÂ’image. Sa mission : retenir à  tout prix des fans gavés de Heroes et déjà  à  lÂ’affût de la prochaine série culteÂ… Presque aussi difficile que de sauver la planète .

(1) Avec une moyenne de 4 millions de téléspectateurs, Heroes reste loin derrière Mystère, la saga de lÂ’été de TF1, et ses 7 millions de fidèles.

(2) Un « spin-off » est une série dérivée dÂ’une autre série : Origins, spin-off de Heroes, sera bientôt lancée aux Etats-Unis.